| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
| | | | | Bonjour à tous. À la Une de votre newsletter ce samedi, le nouveau variant Omicron, qui préoccupe le monde entier. Au programme, également : la démission de l'archevêque de Paris, l'enquête ouverte après les accusations de violences sexuelles visant Nicolas Hulot, la rencontre d'Emmanuel Macron avec le pape, des suites dans l'affaire Pichard, le retour du loup en Ile-de-France et Les Bodin's qui cartonnent en régions, mais pas à Paris. Bonne lecture et bonne journée ! | | | | Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, journaliste au Parisien | | On en parle | | | ● B.1.1.529. Une lettre, cinq chiffres et un cauchemar pour les épidémiologistes. En pleine cinquième vague, provoquée par le variant Delta, un nouveau variant potentiellement redoutable, baptisé hier Omicron par l'OMS, a été détecté en Afrique australe. Des cas en Israël et en Belgique ont déjà été annoncés. Pourrait-il lui aussi nous donner du fil à retordre ? Oui, mais attention à ne pas surréagir.
● Le retour des suspensions de vols. En attendant d'en savoir plus sur ce variant, les pays européens ont annoncé la suspension des vols en provenance de différents Etats africains. Pour rappel, la virulence de la 5e vague en France a par ailleurs poussé le Maroc à suspendre entièrement les vols avec l'Hexagone.
● Mgr Michel Aupetit a présenté sa démission. Pour avoir eu un «comportement ambigu» avec une femme en 2012, l'archevêque de Paris Mgr Aupetit a présenté sa démission au pape, afin d'«éviter la division», a annoncé hier le diocèse de Paris. Récit.
● Hulot : une enquête ouverte. Le parquet a indiqué hier avoir ouvert une enquête préliminaire après la diffusion d'un reportage incriminant l'ex-ministre Nicolas Hulot sur France 2 jeudi soir.
● Guadeloupe : vers plus d'autonomie ? Le gouvernement est «prêt» à parler de l'autonomie de la Guadeloupe, touchée par une crise née du refus de l'obligation vaccinale pour les soignants mais étendue à des revendications sociales, a annoncé hier le ministre des Outre-mer Sébastien Lecornu. Par ailleurs, un délai supplémentaire, jusqu'au 31 décembre, a été accordé pour la mise en œuvre de l'obligation vaccinale des soignants. Le contexte reste très tendu aux Antilles, comme le décrit notre reportage en Martinique, où les habitants décrivent des «scènes de guerre».
● Tensions entre Paris et Londres. Les dissensions n'en finissent pas de monter entre Emmanuel Macron et Boris Johnson. Deux jours après un tragique naufrage de migrants dans la Manche, la France a décidé de ne plus inviter les Britanniques à une réunion dimanche à Calais. Dans le dossier des licences de pêche, les pêcheurs français ont décidé, eux, d'aller seuls au front : hier, ils ont mené une série d'actions symboliques de blocage.
| | | | « Marseille est tout à fait symbolique, c'est l'avenir de la France si on ne fait rien » | Éric Zemmour, Le quasi-candidat à la présidentielle était hier dans la cité phocéenne, où il a été très fraichement accueilli. | | | | | | 1 minute pour comprendre | | Pourquoi la cinquième vague risque d'être plus dangereuse ? | L'info. « Cette cinquième vague sera plus forte, plus longue que la quatrième vague survenue cet été », a indiqué Olivier Véran jeudi, alors qu'il annonçait de nouvelles mesures de freinage.
Ce que disent les chiffres. La barre des 20 000 cas positifs par jour a été franchie en début de semaine, alors que ce nombre était de « seulement » 10 000 une dizaine de jours plus tôt. Lorsque ce seuil de 20 000 cas quotidiens avait été atteint en pleine « quatrième vague », on recensait 25 décès, 364 hospitalisations et 75 admissions en soins critiques chaque jour. Cette fois-ci, on était, respectivement, à 55, 530 et 115. Attention : on teste beaucoup moins aujourd'hui et les cas positifs sont également moins jeunes que cet été. Ce qui peut expliquer pourquoi on a davantage de formes graves.
Vaccins, froid… Reste qu'il y a des raisons de craindre que cette « cinquième vague » fasse davantage de dégâts humains que la précédente, notamment en raison du froid et de la baisse d'efficacité des vaccins. « Dans nos scénarios les moins optimistes, on pourrait être à 2000 hospitalisations par jour », complète de son côté Pascal Crepey. Un espoir cependant : que la vaccination de rappel ouverte à tous permettre de réduire la taille du pic. | | | | | Merci d'avoir lu cette newsletter. Passez une bonne journée et n'oubliez pas de fêter les Astrid. Nous nous retrouvons demain, sans faute, à 8h30. | | | | | 100% Numérique | | Le journal numérique dès 6 heures | | | | Une expérience de lecture illimitée, y compris les articles réservés aux abonnés, et SANS publicité | | | | L'accès à tout le contenu de l'application Le Parisien | | | | | 📬 Lisez nos autres newsletters ! | | Si vous appréciez lire cette newsletter, il y a de fortes chances que vous aimiez aussi celles-ci : | | | | | Le Parisien, 10 bld de Grenelle, 75015 Paris contact@leparisien.fr | Dans le cadre de la gestion de notre prospection commerciale, Le Parisien traite certaines de vos données personnelles dans le cadre de l'exécution d'un contrat ou de votre consentement. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de protection de vos données personnelles : Politique de confidentialité | Se désabonner de cette newsletter | | | | | |
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