| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
| | | | 5 janvier 2023 | Bonjour à tous. À la une de votre newsletter ce jeudi, notre enquête sur un réseau de corruption dans des fourrières franciliennes. Au programme également, la hausse des tarifs des mutuelles, les intentions d'embauches au premier trimestre 2023, les chantiers d'Eric Ciotti pour réveiller Les Républicains, les stratégies des militants écolo ou encore les obsèques de Benoît XVI. Bonne lecture, et bonne journée ! | Cette édition a été préparée par Claire Hache, journaliste au Parisien | | | On en parle | | | ● Une enquête sur un réseau de corruption dans les fourrières. Chafic Alywan et sa société Inter Dépannage régnaient sur le sud de Paris et la banlieue ouest. Interpellé début décembre, le chef d'entreprise a été mis en examen et placé en détention provisoire. L'IGPN, la police des polices, s'intéresse aux liens qu'il entretenait avec des fonctionnaires, et notamment des policiers.
● Les ministres déjà sous pression. Lors du premier Conseil des ministres de l'année, le président a enjoint hier son gouvernement à être plus en empathie avec les Français. Tout en lui demandant de relever les nombreux défis - retraites, immigration, pouvoir d'achat... - de cette rentrée. Récit dans les coulisses.
● Les intentions d'embauche dynamiques au premier trimestre. Avec les risques de récession liés à la guerre en Ukraine et au coût de l'énergie, la crise du recrutement menace en Europe. En France, pourtant, les carnets d'embauche continuent d'être pleins au premier trimestre 2023, selon une étude du géant de l'intérim Manpower que nous dévoilons.
Et aussi • Projet d'attentat contre Marine Le Pen • Matignon recouvert de peinture • Les tarifs des mutuelles en hausse • Refus d'obtempérer à Paris • La mère de Camille, 11 ans, condamnée en appel • Samuel Umtiti victime de cris racistes • «Copenhagen Cowboy» sur Netflix | | | | 🗞 Votre journal en avant-première ! Chers lecteurs, vous pouvez désormais consulter votre quotidien préféré la veille de sa parution en kiosque. Dès 22h30, retrouvez notre première édition sur leparisien.fr et nos applications. | | | | C'est aujourd'hui | | Les funérailles de l'ancien pape Benoît XVI. Des délégations et représentants du monde entier convergent aujourd'hui au Vatican pour rendre un dernier hommage à l'ancien pape décédé samedi à 95 ans. Pour la France, c'est Gérald Darmanin, ministre des Cultes, qui fait le déplacement.
La grand messe de la tech s'ouvre à Las Vegas. À partir d'aujourd'hui et jusqu'au 8 janvier se tient le Consumer Electronics Show (CES) sur plus de 18 hectares, avec des stands dans les hôtels aux espaces extérieurs dédiés aux voitures. Des véhicules toujours plus connectés et des appareils et services pour accéder au métavers seront à l'honneur cette année lors de la grand-messe annuelle des technologies et de l'électronique. | | | | «Les Français sont plus raisonnables que certains syndicats» | Olivier Dussopt ministre du Travail, dans une interview au Parisien. | | | | | | 1 minute pour comprendre | | Électricité : pourquoi les prix augmentent autant pour les professionnels et pas pour les particuliers ? | Les boulangers et d'autres professionnels se plaignent de l'augmentation du prix de leur facture d'électricité, alors que la hausse de celle des particuliers reste limitée grâce à la possibilité de souscrire à une offre régulée.
L'info. Le gouvernement a mis la pression sur les fournisseurs d'électricité afin de les inciter à ne pas alourdir la facture des entreprises, alors que les boulangers se disent menacés par leur explosion. Pourtant, le gouvernement avait annoncé la mise en place d'un bouclier tarifaire, limitant à 15 % l'augmentation du prix de l'électricité.
C'est quoi le tarif régulé ? Le bouclier tarifaire, voté par le gouvernement, ne concerne que le tarif régulé. Il s'agit d'un prix fixé par l'Etat et que l'on peut retrouver chez EDF, le seul fournisseur contraint à devoir proposer une telle offre. Quand les autorités disent limiter le prix de l'électricité, c'est ce tarif là dont on parle. Un tarif similaire existe pour le gaz, mais il est voué à disparaître pour tout le monde au 1er juillet.
Pourquoi les entreprises n'en profitent-elles pas ? Les entreprises qui ont plus de 10 salariés et/ou réalisent un chiffre d'affaires de plus de 2 millions d'euros ne peuvent plus profiter de ce tarif régulé depuis janvier 2021, à la faveur de l'ouverture à la concurrence du marché de l'électricité. Elles sont donc sur une offre de marché qui dépend des cours de l'énergie et du bon vouloir de l'énergéticien. | | | | | C'est tout pour aujourd'hui, merci d'avoir lu cette newsletter. N'oubliez pas de fêter les Emilie et Edouard, prenez soin de vous. On se retrouve demain, à 7h30 ! | | | | | 100% Numérique | | Le journal numérique dès 22h30 la veille de sa parution | | | | Une expérience de lecture illimitée, y compris les articles réservés aux abonnés, et SANS publicité | | | | L'accès à tout le contenu de l'application Le Parisien | | | | | 📬 Lisez nos autres newsletters ! | | Si vous appréciez lire cette newsletter, il y a de fortes chances que vous aimiez aussi celles-ci : | | | | | Le Parisien, 10 bld de Grenelle, 75015 Paris contact@leparisien.fr | Dans le cadre de la gestion de notre prospection commerciale, Le Parisien traite certaines de vos données personnelles dans le cadre de l'exécution d'un contrat ou de votre consentement. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de protection de vos données personnelles : Politique de confidentialité | Se désabonner de cette newsletter | | | | | | |
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