| | | |  | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
| | | | | | 7 juin 2022 | | Bonjour à tous. À la Une de votre newsletter ce mardi, le discount qui fait de plus en plus d'adeptes en raison de l'inflation. Nous revenons également sur Boris Johnson qui sauve son poste, le désamour des Français pour Manuel Valls, la drôle de candidature aux législatives d'une Française installée en Uruguay et qui s'est présentée en Suisse, la polémique sur l'usage du gaz lacrymogène par les forces de l'ordre et le match nul des Bleus en Croatie. Bonne lecture et excellente journée ! | | Cette édition a été préparée par Iris Péron, journaliste au Parisien | | | | On en parle |  | | ● Les Français se convertissent au discount. Action, Gifi, Stokomani, Lidl, Aldi, Netto... Alors que la flambée des prix grignote le pouvoir d'achat des ménages, ces enseignes discount attirent de plus en plus de clients. Décryptage de cet engouement massif et témoignages de nouveaux consommateurs.
● Refus d'obtempérer à Paris. Deux jours après le contrôle de police qui a mal tourné dans le XVIIIe arrondissement, le conducteur du véhicule qui avait refusé de s'arrêter a été placé en garde à vue pour «tentative d'homicide» sur des policiers. L'affaire est, elle, devenue politique. Tandis que Jean-Luc Mélenchon a dénoncé une «police qui tue» et qualifié Alliance, le principal syndicat de policiers, de «groupe factieux», ce dernier a décidé de porter plainte contre le leader de LFI.
● Boris Johnson sauve sa peau. Affaibli depuis des mois par le «Partygate» et ses révélations en cascade, le Premier ministre britannique affrontait hier soir un vote de défiance des députés du Parti conservateur. En emportant ce vote, il a obtenu un (petit) sursis.
● La menace d'Elon Musk. Le milliardaire à la tête de SpaceX et de Tesla, qui prévoit de racheter Twitter, souffle le chaud et le froid. Hier, il a accusé le réseau social de rétention d'informations, et évoqué un possible retrait de son offre d'achat. Un nouvel épisode au feuilleton qui fait planer le doute sur la faisabilité de l'opération.
● Croatie-France, match nul. Hier soir à Split, les hommes de Didier Deschamps, très remaniés avec dix changements par rapport au dernier match perdu contre le Danemark, ont montré de la solidarité mais aussi une forme de naïveté. Les enseignements sont riches pour constituer le groupe de la Coupe du monde 2022. | | | | | | 🗞 Votre journal en avant-première ! Chers lecteurs, vous pouvez désormais consulter votre quotidien préféré la veille de sa parution en kiosque. Dès 21h30, retrouvez notre première édition sur leparisien.fr et nos applications. | | | | | A suivre aujourd'hui | | Grève à l'hôpital. Épuisés par la crise du Covid, en sous-effectif croissant, les personnels soignants redoutent que les patients ne puissent pas être correctement soignés cet été. Ils manifestent ce mardi à l'appel de neuf syndicats et des collectifs Inter Hôpitaux et Inter urgences.
Le procès de l'attentat raté du 31, rue Chanez. Le carnage avait été évité de justesse grâce à un habitant héroïque. Aymen B., surnommé «Daesh», et son cousin, Sami B., sont jugés à partir d'aujourd'hui pour le projet d'attentat aux bonbonnes de gaz contre un immeuble du XVIe arrondissement de Paris, en 2017. Un troisième accusé, qui réfute avoir joué un rôle de mentor, comparaît à leur côté jusqu'au 24 juin. | | | | | | «Le mec est un héros car il accepte de se faire piquer...» | Pascal Chanteur, ancien cycliste
L'aveu de Rafael Nadal, qui a reconnu avoir bénéficié d'injections d'anti-douleurs durant Roland-Garros, agace le patron du syndicat des coureurs professionnels français | | | | | | | | 1 minute pour comprendre |  | | Stade de France, Gare de l'Est... quelles sont les règles sur l'usage du gaz lacrymogène ? | L'info. Pour le deuxième week-end consécutif, l'utilisation par les forces de l'ordre de gaz lacrymogène pour gérer des situations tendues a choqué l'opinion. Après le public du Stade de France, ce sont les voyageurs de la Gare de l'Est qui, après l'annulation de leur train, ont été aspergés alors qu'ils se massaient pour tenter de pénétrer dans des bus de substitutions.
Quelles sont les conditions d'utilisation ? Pour faire usage de bombe lacrymogène, il faut vouloir se «dégager ou se sentir menacé», explique un CRS. «Cela permet d'éviter d'en venir aux mains quand le dialogue ou le guidage ne fonctionnent pas. Ce n'est pas un outil d'attaque, mais son utilisation n'est pas gratuite !», défend un représentant syndical. La règle est donc un usage à l'appréciation de chacun, sans nécessité de recevoir un ordre en amont. Chaque utilisation est toutefois notée dans les rapports d'intervention.
Les policiers en ont-ils fait un usage mesuré ? «A priori, la situation ne se prêtait pas à ces usages. Du moins au début», regrette ce policier que nous avons sollicité. Mathieu Zagrodzki, chercheur au Centre de recherche sociologique sur le droit et les institutions pénales, explique que «voir des familles se rendant au stade ou prendre le train se faire asperger est inadmissible». Il préconise une meilleure formation de gestion des flux pour les policiers. Sans pouvoir dire si les gaz lacrymogènes sont davantage utilisés, il observe que ces événements sont surtout de plus en plus filmés. | | | | | | | | Merci d'avoir lu cette newsletter. Rendez-vous demain à 7h30, et n'oubliez pas de souhaiter une bonne fête aux Gilbert de votre entourage. | | | |  | | 100% Numérique |  | Le journal numérique dès 21h30 la veille de sa parution | | | | | Une expérience de lecture illimitée, y compris les articles réservés aux abonnés, et SANS publicité | | | | | L'accès à tout le contenu de l'application Le Parisien | | | | | | | 📬 Lisez nos autres newsletters ! | | | Si vous appréciez lire cette newsletter, il y a de fortes chances que vous aimiez aussi celles-ci : | | | | | | Le Parisien, 10 bld de Grenelle, 75015 Paris
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