| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
| | | | 12 mars 2022 | Bonjour à tous. À la une de votre newsletter ce samedi, la question du prix du fioul, qui préoccupe nombre de Français. Au programme, également : l'affaire Omar Raddad, la fin du sommet européen consacré à l'Ukraine, notre reportage à Odessa, le rebond du Covid-19, la situation tendue en Corse, le suspense autour de l'avenir de Mbappé et notre sélection de séries et films pour le week-end. Excellente journée à tous et bonne lecture. | Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, journaliste au Parisien | | | On en parle | | | ● Le prix du fioul au plus haut. Il n'y a pas que les prix à la pompe qui flambent avec la guerre en Ukraine. Les tarifs de ce combustible aussi atteignent des sommets. De quoi mettre en difficulté des ménages qui l'utilisent pour alimenter leur chaudière et leur ballon d'eau chaude.
● Congrès de Versailles. A la fin du sommet européen consacré à l'Ukraine, Emmanuel Macron a annoncé des mesures pour venir en aide aux Ukrainiens, mais aussi pour protéger les Européens des conséquences du conflit. Vous pouvez suivre toute l'actualité de la guerre en Ukraine dans notre direct.
● Tensions en Corse. Malgré la mesure d'allègement inédite accordée à Pierre Alessandri et Alain Ferrandi, les deux autres membres condamnés avec Yvan Colonna dans l'affaire Erignac, beaucoup sur l'île veulent quand même en découdre avec l'Etat français.
● Le retour de l'épidémie ? Olivier Véran a alerté hier sur un «rebond» de l'épidémie. Il a mis en exergue la nécessité pour les personnes fragiles de «continuer à se protéger», tout en maintenant la fin du passe vaccinal et du masque le 14 mars.
● Enquête sur l'affaire Omar Raddad. Le livre «Ministère de l'Injustice», à paraître mercredi, révèle qu'une enquête des gendarmes aurait pu innocenter le meurtrier de Ghislaine Marchal. Elle est restée étrangement inachevée en 2004.
● Présidentielle. Le candidat communiste Fabien Roussel est visé par une enquête sur des soupçons d'emploi fictif, une enquête confiée à l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF). Il est soupçonné d'avoir été payé entre 2009 et 2014 comme assistant parlementaire sans avoir réellement travaillé.
| | | | 🗞 Votre journal en avant-première ! Chers lecteurs, vous pouvez désormais consulter votre quotidien préféré la veille de sa parution en kiosque. Dès 21h30, retrouvez notre première édition sur leparisien.fr et nos applications. | | | | | «L'armée russe tue des enfants» | Viatcheslav Bobrov Recruté par Nanterre il y a deux semaines, le basketteur ukrainien est partagé entre le soulagement d'avoir mis à l'abri sa femme et son fils en France et la colère de voir son pays ravagé | | | | | | 1 minute pour comprendre | | Pourquoi Meta autorise la haine envers la Russie | L'info. Meta a confirmé avoir changé ses règles de modération pour autoriser les appels à la haine contre les militaires russes et le président Vladimir Poutine. «À bas les militaires russes» ou «À mort Poutine» deviennent ainsi des publications autorisées dans une petite liste de pays (dont la France ne fait pas partie).
Une première ? Difficile de savoir si la pratique est répandue tant Meta reste discret sur le sujet. L'été dernier, toutefois, il avait été révélé que Facebook avait autorisé les messages appelant à la mort du dirigeant iranien Ali Khamenei, alors que le pays était secoué par des manifestations antigouvernementales.
Quelles réactions ? La Russie, qui a bloqué l'accès à Facebook la semaine dernière et Instagram hier, a annoncé engager des poursuites contre la firme pour «appel aux meurtres». Le Haut-Commissariat aux droits de l'homme, au sein de l'ONU, s'est, lui, inquiété de cette annonce. «C'est très clairement un sujet très, très complexe, mais qui soulève des inquiétudes en matière de droits de l'homme et de droit humanitaire international», a expliqué sa porte-parole. | | | | Affaire Jubillar | | Nouvelles expertises sur la couette et la housse de couette | Les juges d'instruction en charge du dossier Jubillar ne sont pas convaincues par les explications fournies par Cédric Jubillar au sujet des lavages d'une couette et d'une housse de couette retrouvées après la disparition de Delphine en décembre 2020. Elles ont ordonné une analyse génétique des traces de sang retrouvées sur ces deux éléments de literie. | | | | | Merci d'avoir lu cette newsletter, n'oubliez de fêter les Justine et rendez-vous demain, à 8h30. | | | | | 100% Numérique | | Le journal numérique dès 21h30 la veille de sa parution | | | | Une expérience de lecture illimitée, y compris les articles réservés aux abonnés, et SANS publicité | | | | L'accès à tout le contenu de l'application Le Parisien | | | | | 📬 Lisez nos autres newsletters ! | | Si vous appréciez lire cette newsletter, il y a de fortes chances que vous aimiez aussi celles-ci : | | | | | Le Parisien, 10 bld de Grenelle, 75015 Paris contact@leparisien.fr | Dans le cadre de la gestion de notre prospection commerciale, Le Parisien traite certaines de vos données personnelles dans le cadre de l'exécution d'un contrat ou de votre consentement. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de protection de vos données personnelles : Politique de confidentialité | Se désabonner de cette newsletter | | | | | |
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