| | | |  | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
| | | | | | 14 mars 2022 | | Bonjour à tous. À la Une de notre newsletter ce lundi, les soupçons de crimes de guerre qui pèsent sur la Russie, après presque trois semaines de conflit. Au programme également, la fin du passe sanitaire, du masque et du protocole sanitaire en entreprise, les prévisions rassurantes de la Banque de France, et l'opération rédemption du PSG. Bon début de semaine et bonne lecture. | | Cette édition a été préparée par Claire Hache, journaliste au Parisien | | | | On en parle |  | | ● Poutine répondra-t-il de ses actes ? La Cour pénale internationale (CPI) a ouvert une enquête sur d'éventuels crimes de guerre commis en Ukraine par la Russie. Le bombardement d'une maternité à Marioupol est au cœur de débats. Notre décryptage.
● Fin du passe et du masque. Malgré le rebond de l'épidémie, le gouvernement a maintenu sa décision de lever le port obligatoire du masque et le passe vaccinal dans la grande majorité des lieux à partir d'aujourd'hui. On fait le point précis sur tout ce qui change.
● Croissance : les prévisions «rassurantes» de la Banque de France. Face au choc ukrainien, les chiffres de la Banque de France, que nous dévoile son patron, sont rassurants : 2,8 % de croissance dans le scénario «dégradé», une inflation à moins de 2 % d'ici 2024, une consommation qui reste soutenue et une économie qui continue à créer des emplois.
● Colère et violence en Corse. Des affrontements ont eu lieu dans le centre-ville de Bastia hier, après une heure de manifestation dans le calme. Les forces de l'ordre n'ont pas cédé de terrain aux émeutiers, mais l'État semble incapable de stopper l'incendie qui consume l'île depuis l'agression d'Yvan Colonna en prison. | | | | | | 🗞 Votre journal en avant-première ! Chers lecteurs, vous pouvez désormais consulter votre quotidien préféré la veille de sa parution en kiosque. Dès 21h30, retrouvez notre première édition sur leparisien.fr et nos applications. | | | | | | | «Ils sont en train de se répartir des circos comme s'ils étaient à 12 %, ils sont flippants. Je n'ai jamais vu le parti dans un pire état.» | Un élu écologiste
à propos du trou d'air dans la campagne de Yannick Jadot | | | | | | | | 1 minute pour comprendre |  | | Soupçons de crimes de guerre : Marioupol, un cas d'école ? | Que se passe-t-il à Marioupol ? Dévastée par deux semaines de siège, la cité portuaire ukrainienne est l'objet de toutes les craintes. Privée d'eau, de gaz, d'électricité et de communications, elle se retrouve plongée dans une situation «quasi désespérée», selon Médecins sans frontières. Une maternité y a été bombardée mercredi 9 mars, l'archétype d'un crime de guerre... autant que de la difficulté à le prouver.
Que dit la Russie ? Le ministre Sergueï Lavrov a semblé reconnaître l'attaque de l'hôpital pédiatrique tout en la présentant comme une cible militaire, le bâtiment ayant selon lui «été repris depuis longtemps par le bataillon Azov (un groupe proche de la mouvance néonazie intégré à la garde nationale ukrainienne) et d'autres radicaux». Mais aucun élément ne permet de dire que ce groupe nationaliste avait pris possession de l'hôpital pédiatrique.
Y a-t-il eu «mise en scène» ? Les images des femmes et enfants évacués de la maternité détruite ont fait l'objet d'une vaste campagne de propagande de la part de la Russie, qui estime que l'une des femmes enceintes photographiées dans les décombres est une mannequin qui aurait «joué plusieurs rôles» de victimes. Si la jeune femme en question est bien une influenceuse ukrainienne, rien, là encore, ne permet d'attester une quelconque mise en scène. | | | | | | Paris |  | | Frais de représentation : ce que les élus dépensent... ou pas | | Depuis plusieurs années, Anne Hidalgo se refuse à fournir ses notes de frais malgré les injonctions de la Commission d'accès aux documents administratifs et du tribunal administratif. Les maires d'arrondissement, eux, sont contrôlés par la Commission de déontologie et peuvent parfois être rappelés à l'ordre. | | | | | | Le coin des sportifs |  | | Un triste dimanche de retrouvailles | | Quatre jours après l'élimination calamiteuse à Madrid, le club de la capitale a renoué hier avec le succès devant la lanterne rouge. Mais il a pu mesurer la fracture avec ses supporters qui n'ont épargné personne, si ce n'est Kylian Mbappé et Keylor Navas. | | | | | | | | Merci d'avoir lu cette newsletter, n'oubliez de fêter les Mathilde et rendez-vous demain, à 7h30. | | | |  | | 100% Numérique |  | Le journal numérique dès 21h30 la veille de sa parution | | | | | Une expérience de lecture illimitée, y compris les articles réservés aux abonnés, et SANS publicité | | | | | L'accès à tout le contenu de l'application Le Parisien | | | | | | | 📬 Lisez nos autres newsletters ! | | | Si vous appréciez lire cette newsletter, il y a de fortes chances que vous aimiez aussi celles-ci : | | | | | | Le Parisien, 10 bld de Grenelle, 75015 Paris
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