| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
| | | | 10 mars 2022 | Bonjour à tous. À la une de votre newsletter ce jeudi, l'Europe qui cherche à faire front face à la Russie et l'élimination du PSG de la Ligue des champions. Nous vous parlons également des combats en Ukraine, des prémices d'un rebond du Covid, du débat Zemmour-Pécresse, des échauffourées en Corse après l'agression d'Yvan Colonna en prison et des obsèques de Jean-Pierre Pernaut. Excellente journée à tous et bonne lecture. | Cette édition a été préparée par Claire Hache, journaliste au Parisien | | | On en parle | | | ● L'Europe peut-elle vivre sans le gaz russe ? Les Etats-Unis et la Grande Bretagne ont annoncé mardi un embargo sur le pétrole et le gaz russe. L'Union européenne veut diviser par trois l'achat de gaz d'ici à 2023. Et envisage même de s'en passer totalement, pétrole inclus, avant la fin de la décennie. Réaliste ? Ce sera l'un des enjeux du sommet de Versailles (voir ci-dessous).
● Une Russie à deux visages. Même si les combats en Ukraine se poursuivent - une maternité à Marioupol a notamment été bombardée - Moscou semble avoir changé de ton. La Russie a évoqué hier des «progrès dans les négociations» et expliqué que ses objectifs militaires «n'incluent ni l'occupation de l'Ukraine, ni la destruction de son État, ni le renversement du gouvernement actuel». Reste qu'après 15 jours de guerre, la situation est toujours dramatique pour les civils, avec désormais plus de 2,1 millions de réfugiés.
● Paris s'est sabordé en Ligue des champions. Hier soir, le club de la capitale a totalement sombré après avoir ouvert le score par Kylian Mbappé. A noter notamment la bourde de Donnarumma qui a tout changé. Crucifié par un triplé de Karim Benzema, le PSG sort par la petite porte de la Ligue des champions, couvert de ridicule. Notre analyse.
● La menace Covid de retour ? Depuis quelques jours, les contaminations repartent légèrement à la hausse alors que le passe vaccinal sera supprimé lundi. Assiste-t-on à un nouveau rebond ? Les avis des experts sont partagés.
● La Corse à cran après l'agression de Colonna. Manifestations, rassemblements devant les préfectures, échauffourées avec les forces de l'ordre… La tentative d'assassinat contre Yvan Colonna la semaine dernière a ravivé des tensions qui couvaient depuis des mois sur l'île. Avec, en toile de fond, le spectre du retour de la violence clandestine. Hier soir encore, des manifestations ont dégénéré. Plusieurs blessés sont à déplorer, dont nombre de CRS, un lycéen et des journalistes. | | | | 🗞 Votre journal en avant-première ! Chers lecteurs, vous pouvez désormais consulter votre quotidien préféré la veille de sa parution en kiosque. Dès 21h30, retrouvez notre première édition sur leparisien.fr et nos applications. | | | | | «Une partie de l'armée russe, en particulier les appelés, n'a pas envie de combattre» | Dominique Trinquand L'ancien général et expert militaire pointe les faiblesses russes | | | | | | 1 minute pour comprendre | | Civils, bâtiments, armes : ce que permet et ne permet pas le droit de la guerre | L'info. Russie et Ukraine s'accusent mutuellement de «crimes de guerre». Cette notion découle directement du droit de la guerre. Déterminé par des dizaines de textes et conventions adoptés depuis plus d'un siècle, le droit de la guerre fixe des règles et des interdictions concernant les armes et les cibles notamment.
Qu'est-ce qui est interdit ? L'une des principales règles du droit de la guerre est de faire la distinction entre ceux qui combattent et ceux qui ne combattent pas. Il est interdit de cibler des non-combattants, même s'il est toléré des «dommages collatéraux». Les combattants, eux, n'ont par exemple pas le droit de se «déguiser» en civils ou de cacher leurs armes.
Quelles sanctions ? Ce sont les ONG et notamment le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) qui veillent au respect du droit de la guerre. Elles peuvent enquêter sur des faits et les signaler auprès des tribunaux nationaux ou auprès de la Cour pénale internationale. Il peut toutefois être facile pour les responsables de crimes de guerre d'échapper à la justice, en absence d'une police internationale. | | | | | Merci d'avoir lu cette newsletter, n'oubliez de fêter les Vivien et rendez-vous demain, à 7h30. | | | | | 100% Numérique | | Le journal numérique dès 21h30 la veille de sa parution | | | | Une expérience de lecture illimitée, y compris les articles réservés aux abonnés, et SANS publicité | | | | L'accès à tout le contenu de l'application Le Parisien | | | | | 📬 Lisez nos autres newsletters ! | | Si vous appréciez lire cette newsletter, il y a de fortes chances que vous aimiez aussi celles-ci : | | | | | Le Parisien, 10 bld de Grenelle, 75015 Paris contact@leparisien.fr | Dans le cadre de la gestion de notre prospection commerciale, Le Parisien traite certaines de vos données personnelles dans le cadre de l'exécution d'un contrat ou de votre consentement. Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de protection de vos données personnelles : Politique de confidentialité | Se désabonner de cette newsletter | | | | | |
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