| | | |  | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
| | | | | | | | Bonjour à tous. A la Une de votre newsletter ce vendredi, le protocole sanitaire à l'école qui tourne au casse-tête, avec à la clé d'interminables files d'attente pour les tests et un nombre record de classes qui ferment. Au programme également, notre enquête sur les cabinets esthétiques clandestins, la crise au Kazaksthan, le fiasco Djokovic en Australie et les films les plus attendus de l'année. Bonne lecture et bonne journée ! | | | | Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, journaliste au Parisien
| | | On en parle |  | | ● L'école va-t-elle craquer ? 47 453 cas positifs parmi les élèves, 5 631 chez les enseignants et 9 202 classes fermées : à peine rentrés, écoliers et professeurs prennent de plein fouet la vague Omicron. Or, le protocole de tests coince, faute d'autotests. Chefs d'établissements et parents tirent la sonnette d'alarme... et le gouvernement annonce un léger assouplissement des règles pour les tests. ● Vaccination des 5-11 ans : accord des deux parents nécessaire. L'accord des deux parents, et non plus d'un seul, sera requis pour vacciner les enfants de 5 à 11 ans contre le Covid-19, a indiqué le ministère de la Santé. Pour les 12-15 ans, l'accord d'un seul parent continue à suffire, alors que les plus de 16 ans peuvent se faire vacciner sans accord parental.
● Entre Macron et Philippe, la tension monte. Le président goûte peu l'entreprise politique de l'ex-Premier ministre, Edouard Philippe, qui met sur les rails son parti Horizons. Si le climat entre les deux hommes est polaire, le maire du Havre met cependant toujours en avant sa «loyauté» envers le chef de l'Etat.
● Omicron toujours plus fort. Ce variant, identifié en Afrique australe fin novembre, représente désormais la majorité des nouvelles contaminations recensées en France. Un axe nord-sud se dessine. Alors où circule-t-il le plus, région par région ?
● Les tarifs des mutuelles augmentent. Selon l'étude annuelle de tarifs de la Mutualité française que nous vous dévoilons, les cotisations augmentent fortement en 2022. En cause : la croissance des dépenses d'assurance maladie, le rattrapage des soins post-confinements et le dérapage du coût du 100% santé.
● Le procès du 13 Novembre encore renvoyé. Après avoir repris hier, le procès devant la cour d'assises spéciale de Paris a de nouveau été interrompu et renvoyé à mardi. Salah Abdeslam avait été déclaré «apte» à comparaître après avoir été testé positif au Covid fin décembre. L'accusé étant toujours positif, une contre-expertise médicale a été réclamée par ses avocats, demande à laquelle se sont associés des avocats de la défense et des parties civiles.
| | | | | | «Pour la première fois, un président n'a pas seulement perdu une élection, il a tenté d'empêcher un transfert pacifique du pouvoir» | Joe Biden,
le président américain s'est exprimé hier devant le Congrès, un an jour pour jour après l'assaut du Capitole par des militants pro-Trump. | | | | | | | | 1 minute pour comprendre |  | | Pourquoi la situation est aussi explosive au Kazakhstan | L'info. Des dizaines de manifestants et 18 policiers sont morts à Almaty, la capitale économique du Kazakhstan, dans la nuit de mercredi à jeudi selon la police. Plusieurs centaines de personnes ont également été blessées dans des contestations qui ont tourné aux émeutes. Hier, 2 000 personnes ont été arrêtées à Almaty, la capitale. Le président Tokaïev a décrété l'état d'urgence et limogé son gouvernement.
Une contestation économique, puis politique. Les manifestations, qui ont commencé dimanche en raison du doublement du prix du gaz naturel liquéfié (GNL), se sont transformées en revendications à l'encontre du pouvoir. Le toujours très influent Noursoultan Nazarbaïev, président de cette ancienne République soviétique jusqu'en 2019, est ciblé par les manifestants, que le pouvoir a qualifiés de «groupes terroristes». Pour ramener le calme, l'actuel chef de l'Etat a notamment fait marche arrière sur la hausse du prix du gaz.
La Russie intervient. Face à une situation explosive, le président kazakh a fait appel à son partenaire russe, qui a annoncé le déploiement avec ses alliés de troupes de l'Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) au Kazakhstan. L'intervention russe répond à un double enjeu : maintenir la paix dans le pays et servir ses intérêts, le Kazakhstan étant un partenaire économique et stratégique. De son côté, la France appelle «toutes les parties», y compris les forces extérieures, à la «modération». | | | | | | | | Merci d'avoir lu cette newsletter. Bonne fête aux Raymond et rendez-vous demain, à 8h30 ! | | | |  | | 100% Numérique |  | Le journal numérique dès 6 heures | | | | | Une expérience de lecture illimitée, y compris les articles réservés aux abonnés, et SANS publicité | | | | | L'accès à tout le contenu de l'application Le Parisien | | | | | | | 📬 Lisez nos autres newsletters ! | | | Si vous appréciez lire cette newsletter, il y a de fortes chances que vous aimiez aussi celles-ci : | | | | | | Le Parisien, 10 bld de Grenelle, 75015 Paris
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