| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la Une de votre newsletter ce mardi, le nucléaire qui déboule en force dans la campagne présidentielle. Au programme également, Xavier Bertrand qui a décidé de participer au Congrès LR en vue de la présidentielle, les lendemains qui chantent pour les Bleus et les premières traces de consommation de tabac datant de... 13000 ans. Bonne lecture et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News.
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On en parle | | | ● Le nucléaire, sujet fort de 2022. Emmanuel Macron doit annoncer aujourd'hui à l'Elysée une relance de la filière nucléaire, dans le cadre du plan France 2030. Il n'est pas le seul à plaider pour cette technologie dans la classe politique qui sera indéniablement un enjeu dans cette présidentielle. Si les Français y semblent de plus en plus favorables, des questions sur les prix, l'indépendance énergétique ou encore l'environnement se posent. Décryptage d'un dossier sensible.
● Professeure jetée au sol. La scène, filmée et diffusée ce week-end sur les réseaux sociaux, a suscité une vague d'indignation. Une enseignante a été victime d'un geste violent commis par un élève en plein cours vendredi au lycée professionnel Jacques-Prévert, à Combs-la-Ville (Seine-et-Marne). Valérie Pécresse souhaite notamment dans nos colonnes «des établissements spécialisés avec un encadrement renforcé».
● Un vaccin efficace. La vaccination contre le Covid-19 réduit de 90% le risque d'hospitalisation et de décès chez les plus de 50 ans et semble aussi efficace face au variant Delta, selon une vaste étude française portant sur 22 millions de personnes. Explications.
● Xavier Bertrand participera au Congrès LR. La pression était forte sur lui depuis que le principe d'un vote des seuls militants Les Républicains pour départager les candidats de droite avait été acté. Après des semaines d'hésitation, le président de la région Hauts-de-France a finalement décidé de se soumettre à ce mode de départage, a-t-il confirmé hier soir sur le plateau du JT de TF1.
● Un ministre à la barre. Pour la première fois, un ministre en exercice doit être jugé par un tribunal correctionnel : Alain Griset, en charge des PME, est cité à comparaître aujourd'hui pour «déclaration incomplète ou mensongère de sa situation patrimoniale» et «de ses intérêts».
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| «On finit par se convaincre que la faux va tomber, qu'il n'y a rien à faire» | Maureen Roussel rescapée du Bataclan à l'origine de l'association «Life for Paris», au procès des attentats | |
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1 minute pour comprendre | | Covid-19 et grippe : la peur d'une double épidémie est-elle justifiée ? | L'info. Contracter la grippe et le Covid-19 doublerait le risque de décès, notamment chez les plus âgés, alerte l'Agence britannique de sécurité sanitaire. Avec près de 35 000 cas par jour, la baisse des températures et le relâchement des gestes barrière, le Royaume-Uni craint ainsi de voir se développer sur son territoire une «twindemic», c'est-à-dire une épidémie jumelle croisant les deux virus, potentiellement meurtrière.
Une co-infection très peu documentée. Le risque d'une mortalité doublée serait à relativiser selon les experts interrogés, pour qui très peu d'études ont été menées jusqu'à présent sur le sujet. Et pour cause, la faible circulation du virus grippal l'hiver dernier n'a pas permis d'observer un tel phénomène. Le risque ne serait pas tant de voir se développer lors des prochaines semaines des «épidémies jumelles», comme les surnomme la presse britannique, mais des «épidémies parallèles'. En d'autres termes, une personne aurait plus de chances de contracter les deux bactéries à quelques semaines ou mois d'intervalles, plutôt qu'ensemble. Dans tous les cas, les autorités rappellent l'importance pour les personnes âgées et les plus vulnérables de se faire vacciner à l'approche de l'hiver contre ces deux pathologies.
Un virus qui peine à reculer au Royaume-Uni. Si le ton se veut volontiers plus alarmiste de l'autre côté de la Manche, la situation épidémique n'est pas la même qu'en France. L'Hexagone connaît une décrue très prononcée, avec moins de 4 000 cas par jour, quand son voisin anglais, qui a levé les restrictions l'été dernier, en recense… près de 10 fois plus. «Des cas de co-infections ont pu être plus nombreux chez eux. Il est évident que nous n'abordons pas l'hiver de la même façon», remarque l'épidémiologiste Antoine Flahault. | |
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| Merci d'avoir lu cette newsletter. On se retrouve demain, à 7h30. N'oubliez pas de fêter les Wilfried et passez une agréable journée. |
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