| | | L'essentiel du matin |
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| Bonjour à tous. A la une de votre newsletter ce vendredi, les vacances de printemps chamboulées par les annonces d'Emmanuel Macron. Ecole à distance, télétravail, les coulisses de l'allocution du président... Nous faisons le point sur ces dernières décisions, également via les questions que vous nous avez posées par centaines, et auxquelles la rédaction a répondu ! Retrouvez aussi l'interview de Pépita, après les accusations de racisme visant l'émission «Pyramide», et les dilemmes de Mbappé sur son avenir à Paris... ou à plus de 10 kilomètres de la capitale. Bonne lecture, et bonne journée. |
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Cette édition a été préparée par Claire Hache, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Des vacances chamboulées. «C'est l'enfer, mais c'est pour la bonne cause...» Les deux semaines de congés de printemps pour toutes les zones, ensemble, bouleversent les plans des Français. «Soit vous partez pour quatre semaines, soit vous ne partez pas», a mis en garde hier Jean-Baptiste Lemoyne, le secrétaire d'Etat chargé du Tourisme, qui a aussi recommandé aux Français de reporter leurs vacances prévues à l'étranger.
● Ecole à la maison : est-on vraiment prêt ? Avec l'annonce de la fermeture des écoles par Emmanuel Macron, c'est le retour des cours en distanciel pour les élèves de l'élémentaire, du collège et du lycée. En un an, qu'a-t-on appris sur l'enseignement à la maison ? On fait le point.
● Pas d'assistantes maternelles non plus ? Matignon a annoncé hier soir que la majorité des 280 000 assistantes maternelles de l'Hexagone n'accueilleraient plus d'enfants pendant trois semaines, afin d'être «en cohérence avec les crèches». Avant de préciser que la question n'était pas tranchée ! Elle doit l'être aujourd'hui. Parmi les modalités à définir figure le dossier des enfants de «publics prioritaires», comme les soignants, dont la liste est en cours d'arbitrage.
● Les nouvelles restrictions votées, en dépit d'un boycott. A l'Assemblée nationale, comme au Sénat, le vote sur les nouvelles restrictions annoncées par Emmanuel Macron face à l'épidémie a suscité un lourd clivage. Une majorité des élus des deux chambres les ont validées, mais certains ont choisi de ne pas prendre part au vote final, dénonçant notamment «un simulacre de démocratie».
● Patrick Juvet est mort. Le chanteur né en Suisse avait connu une forte popularité lors des années disco, notamment avec son titre «Où sont les femmes ?», sorti en 1975. Les causes de son décès, à l'âge de 70 ans, n'ont pas encore pu été déterminées. Son agent, qui a annoncé sa mort hier, a précisé que l'artiste, dont le corps a été retrouvé dans un appartement de Barcelone, allait faire l'objet d'une autopsie.
● Roselyne Bachelot a quitté l'hôpital. L'entourage de la ministre de la Culture, admise il y a une dizaine de jours pour des complications liées au Covid-19, a annoncé hier qu'elle était sortie de l'hôpital. Âgée de 74 ans, elle entame désormais une période de convalescence.
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| «Vous semblez plus soucieuse de mener une aventure personnelle que d'améliorer la situation concrète des Parisiens» | Rachida Dati, extrait des échanges épistolaires salés entre Anne Hidalgo et la maire du VIIe arrondissement. | |
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1 minute pour comprendre | | Quand la génétique vole au secours d'une Australienne condamnée pour infanticides | L'info. Plus de 90 scientifiques, dont certains travaillent en France, se mobilisent pour la libération de Kathleen Folbigg, une Australienne de 53 ans, condamnée en 2003 pour les homicides de ses quatre enfants.
De quoi l'accuse-t-on ? La série noire commence le 20 février 1989, quand décède Caleb Folbigg, dix-neuf jours après sa naissance. Le drame se répète avec Patrick, mort à huit mois en 1991 puis avec Sarah, qui s'éteint en 1993 à l'âge de dix mois. C'est quand Laura décède à son tour en 1999, à l'âge de 18 mois, que la police commence à enquêter. Kathleen Folbigg est arrêtée en 2001 et condamnée deux ans plus tard à 40 ans de prison, une peine réduite à 30 ans en appel. D'après la Cour suprême de Nouvelle-Galles du Sud, elle a étouffé trois de ses enfants. La condamnation ne repose pas sur des éléments médico-légaux mais sur les journaux intimes de l'Australienne, qui a toujours plaidé non coupable.
Pourquoi pourrait-elle être innocente ? Les récentes analyses des génomes des victimes ont révélé des mutations pouvant entraîner une mort subite du nourrisson. Au vu de ces éléments, 91 scientifiques, dont deux Prix Nobel et des chercheurs travaillant au CHU de Nantes, ont adressé, le 3 mars, une pétition au gouverneur de Nouvelle-Galles du Sud pour demander la grâce de Kathleen Folbigg. Si cette demande était acceptée, l'Australienne pourrait sortir de prison mais elle ne serait pas blanchie. Pour cela, il faudrait qu'elle repasse devant la justice australienne qui a encore rejeté la semaine dernière ses arguments. | |
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| Merci d'avoir lu cette newsletter. On se retrouve demain, à 8h30. D'ici là, passez une excellente journée et n'oubliez pas de souhaiter une bonne fête aux Sandrine de votre entourage. |
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