| | | L'essentiel du matin |
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| Bonjour à tous. A la une de votre newsletter ce samedi, les bonnes nouvelles de Pfizer sur le front du Covid, le désespoir des agriculteurs qui ont «perdu une année de travail» à cause du gel et la mort du prince Philip, auquel les dirigeants du monde entier ont rendu hommage. On s'intéresse également au profil trouble du compagnon d'Aurélie Vaquier, soupçonné d'avoir assassiné la jeune femme, aux autotests disponibles dès la semaine prochaine et au PSG qui retrouve les terrains à Strasbourg après son exploit en terres bavaroises. Bonne lecture, et bon week-end ! |
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Cette édition a été préparée par Sébastien Coca, chef de service adjoint au pôle News
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On en parle | | | ● De l'espoir sur le front du Covid. La technologie des vaccins à ARN messager, dont beaucoup se méfiaient, montre des résultats exceptionnels. Cette bonne nouvelle en appellerait-elle d'autres ? Comme nous le révèle le géant pharmaceutique américain, avec son partenaire allemand BioNTech, Pfizer planche actuellement sur des traitements antiviraux.
● AstraZeneca : la deuxième dose en question. La Haute Autorité de Santé (HAS) recommande une deuxième dose de sérum Moderna ou Pfizer pour les moins de 55 ans, qui n'ont pu recevoir leur seconde injection en raison d'un récent changement des critères pour être éligible à ce vaccin. L'OMS se veut, elle, plus prudente, faute de «données adéquates» sur l'interchangeabilité des produits.
● Le prince Philip est mort. L'époux de la reine Elizabeth II s'est éteint «paisiblement» hier au château de Windsor, à l'âge de 99 ans. A l'annonce du décès du prince consort, les réactions se sont multipliées à travers le monde. Boris Johnson a rendu hommage à «un environnementaliste [qui] a inspiré des milliers de jeunes britanniques», tandis qu'Emmanuel Macron a salué sa «vie exemplaire». Portrait d'un prince pas comme les autres.
● «On a perdu une année entière de travail». Les agriculteurs sont désemparés face à l'épisode de gel qui sévit sur le territoire, et nombre d'entre eux, arboriculteurs ou vignerons, n'ont pu lutter face à la vague de froid. Ils nous décrivent des «fleurs de fraisiers gelées», des «abricots ratatinés», quand d'autres, à bout, racontent être à «deux doigts de tout vendre et de dire c'est fini». Témoignages.
● Présidentielle : Jadot en rassembleur. L'eurodéputé écologiste doit réunir en début de semaine prochaine les dirigeants de partis et candidats potentiels à l'Elysée. Anne Hidalgo, Olivier Faure, Fabien Roussel ou encore Benoît Hamon ont répondu positivement à son appel qui vise au rassemblement de la gauche en 2022. Nos indiscrétions à lire ici.
● Chalençon et Leroy interrogés. Le collectionneur, propriétaire du Palais Vivienne, et le chef cuisinier ont été placés hier en garde à vue, soupçonnés d'avoir organisé des dîners clandestins. Ils ont été interrogés, avant d'être laissés libres. «A ce stade des investigations, aucun élément ne permet de mettre au jour la participation d'un membre du gouvernement aux repas qui font l'objet de cette enquête», a indiqué le parquet.
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A suivre | Des vacances de Pâques à la maison | Elles débutent aujourd'hui, plus tôt que prévu pour certains, et avec une drôle de saveur. Les élèves des trois zones sont en vacances de printemps, alors que les déplacements interrégionaux sont interdits et qu'il est impossible de se rendre à plus de 10 kilomètres de son domicile. Les forces de l'ordre veilleront au grain. Si aucune attestation n'est nécessaire en journée, un simple justificatif de domicile servant à prouver que vous n'avez pas dépassé le rayon autorisé, un document sera en revanche demandé une fois les coups de 19 heures sonnés, pour prouver le motif impérieux de votre déplacement. «Amener ses enfants chez les grands-parents» est par exemple une raison légitime de trajet au-delà des 10 kilomètres réglementaires, avait détaillé Jean-Baptiste Djebbari, ministre des Transports, à condition que la dépose des bambins s'effectue hors période de couvre-feu. | |
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1 minute pour comprendre... | | ...les émeutes en Irlande du Nord | L'info. L'Irlande du Nord semble renouer avec ses vieux démons. Depuis le 29 mars, après de premières échauffourées dans la ville de Londonderry, les nuits de violences s'enchaînent les unes après les autres. Une cinquantaine de policiers ont été blessés au cours de ces émeutes qui opposent unionistes, républicains et forces de l'ordre.
D'où viennent ces tensions ? Avec le Brexit, devenu effectif le 31 décembre 2020 à minuit, les unionistes s'estiment «trahis» par la mise en place d'un protocole, conclu entre Londres et Bruxelles après d'intenses négociations entre les deux parties, qui a instauré une frontière en mer d'Irlande. Le territoire britannique est d'une certaine manière «séparé» du reste du pays et soumis aux règles en vigueur dans l'UE, comme le contrôle des marchandises qui entrent dans la province britannique.
A quoi s'attendre ? Londres et Bruxelles ont cherché à tout prix à éviter le retour d'une frontière physique terrestre entre l'Irlande du Nord et la République d'Irlande, afin de préserver la paix arrachée par les Accords du Vendredi Saint de 1998, qui ont mis fin à trois décennies de troubles dans la province britannique, au cours desquelles plus de 3500 personnes ont perdu la vie. Par l'intermédiaire de leurs Premiers ministres respectifs, Boris Johnson et Micheal Martin, Londres et Dublin ont condamné jeudi les affrontements. Mais le calme ne semble pas revenir dans la province britannique. Dans ce contexte de violences, le 3 mai marquera les 100 ans de la partition de l'île, convenue dans le Government of Ireland Act de 1920. De quoi relancer le débat sur le retour à une union entre l'Ulster et le sud de l'île, comme le souhaiteraient certains républicains. | |
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| Merci d'avoir lu cette newsletter. On se retrouve demain, à 8h30. D'ici là, passez une excellente journée et n'oubliez pas de souhaiter une bonne fête aux Vivien qui vous entourent. |
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