| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la Une ce lundi, les écoles, où l'épidémie de Covid-19 progresse dangereusement mais que le gouvernement entend protéger des restrictions. Jusqu'à quand ? Au programme également : notre guide pratique pour s'y retrouver dans les règles en vigueur dans les 16 départements «reconfinés», notre dossier sur les femmes qui accouchent en temps de Covid, notre interview de Michel Sardou, cas-contact après sa rencontre avec Roselyne Bachelot, et nos articles sur le joli coup réalisé par le PSG dans la course au titre. Bonne lecture, et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Iris Peron, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● L'école ouverte... jusqu'à quand ? Les établissements ont échappé aux restrictions dures mises en place dès ce week-end dans 16 départements pour freiner le Covid-19. Seules retouches sur le scolaire à partir de ce lundi : des effectifs en demi-jauges pour tous les lycées dans les territoires en rouge, et l'éducation physique désormais autorisée en intérieur. Pourtant, les contaminations y sont en hausse. Les profs jugent les tests salivaires «insuffisants» et demandent à être vaccinés en priorité. Explications.
● Confinement : mode d'emploi. Alors que la semaine de travail et d'école reprend, on espère que vous avez bien compris les règles en vigueur dans l'espace public. Loi des 10 kilomètres, couvre-feu, justificatif de domicile... Si vous n'êtes pas sûr d'avoir tout suivi, nous vous invitons à lire notre guide pratique. Et comme si tout cela n'était pas suffisamment complexe, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, a semé le trouble hier en évoquant une interdiction de recevoir des invités à son domicile dans les 16 départements concernés. Une simple recommandation, a toutefois nuancé le ministère de l'Intérieur.
● Cas Covid au gouvernement. Après Elisabeth Borne, Roselyne Bachelot a annoncé être positive. Agnès Pannier-Runacher est, quant à elle, cas contact. La tuile pour l'exécutif, alors que ces ministres sont au cœur du dispositif de lutte contre l'épidémie. Le cas Bachelot s'est doublé d'une polémique. D'après Libération, la ministre a en effet participé, vendredi soir, à une représentation à l'Opéra de Paris, avant de poser pour la photo en rangs serrés avec les protagonistes du spectacle. Quelques heures plus tôt, elle avait remis les insignes de Commandeur de la Légion d'honneur à Michel Sardou... désormais cas contact (lire son interview plus bas).
● 6500 personnes fêtent illégalement le carnaval à Marseille. Déguisées et souvent non masquées, hier, près de 6500 personnes ont défié les restrictions sanitaires contre le Covid-19 lors d'un carnaval non autorisé à Marseille. L'événement a été jugé totalement «irresponsable» par la police, des élus et des soignants.
● La santé mentale des Français au menu de l'exécutif. Le sujet va être abordé ce lundi à Matignon, à l'occasion d'une réunion pilotée par Jean Castex. En coulisses, on dit Emmanuel Macron inquiet de voir s'installer la déprime, voire pire. «Sa crainte, c'est que le pays se transforme en cocotte-minute, que ça pète de partout. Il voit bien les sondages sur le moral des Français, la détresse des restaurateurs, des cinémas, sans parler de la jeunesse», raconte un ministre. Un dernier point que le chef de l'Etat surveille même avec acuité.
● La mise au point du PSG . En allant s'imposer nettement à Lyon (4-2), les Parisiens ont repris la tête du championnat de Ligue 1 mais aussi pris un ascendant psychologique dans la course au titre. Portés par un Verratti impérial et un Mbappé chirurgical, l'équipe de Pochettino a eu le seul tort de laisser les Lyonnais adoucir le score, alors qu'elle n'a en fait jamais été inquiétée. Peut-être un tournant dans le sprint final. | |
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A suivre | Dix Gilets jaunes au tribunal pour le saccage de l'Arc de Triomphe | Les images ont fait le tour du monde. Le 1er décembre 2018, lors de l'acte III des Gilets jaunes, la manifestation parisienne dégénère. La journée est ponctuée par le saccage de l'Arc de Triomphe sur la Place de l'Etoile. Deux ans et demi après cette journée insurrectionnelle, le procès s'ouvre ce lundi à Paris Mais un procès a minima : comme le reconnaissent les juges d'instruction à l'issue de leurs investigations, «force est de constater que les instigateurs, voire les principaux auteurs des faits, n'avaient pu être identifiés pour les violences et dégradations organisées en marge de la manifestation». Dix personnes, huit hommes et deux femmes, s'apprêtent à comparaître devant le tribunal pendant une semaine. | |
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| «Je suis commandeur Covid» | Michel Sardou Commandeur de la Légion d'honneur depuis vendredi et... cas-contact de Roselyne Bachelot, contaminée par le Covid-19 | |
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