| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la Une ce mardi, la suspension de la campagne de vaccination avec AstraZeneca dans plusieurs pays européens dont la France, et la situation sanitaire très inquiétante en Ile-de-France. Au programme également, la nouvelle carte nationale d'identité que nous vous dévoilons en exclusivité, le fléau des punaises de lit et la plaie des cambriolages pendant les matchs de foot. Bonne lecture et bonne journée. |
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Cette édition a été préparée par Iris Peron, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Le vaccin AstraZeneca suspendu. Dans la foulée de la décision allemande d'interrompre sa campagne de vaccination avec le sérum AstraZeneca hier après-midi, Emmanuel Macron a annoncé une décision similaire. Une mesure prise « par précaution » à cause d'effets secondaires, a précisé le président de la République, en attentant un avis de l'autorité européenne du médicament, qui se réunit aujourd'hui. Ces annonces de suspension, qui se multiplient un peu partout dans le monde, mettent un sacré coup d'arrêt à la lutte contre le Covid-19.
● Reconfinement inéluctable en Ile-de-France ? Malgré les transferts de patients entamés ce week-end, la situation sanitaire continue de se dégrader dangereusement en région parisienne, où les hôpitaux restent au bord de la saturation. Face à cette situation, Emmanuel Macron a d'ailleurs admis que « le maître du temps, c'est le virus, malheureusement » et que « de nouvelles décisions » seraient « sans doute » annoncées « dans les jours qui viennent ».
● Une nouvelle carte d'identité pour les Français. Puce sécurisée, QR code, hologramme... Marlène Schiappa présente en exclusivité au Parisien la nouvelle carte d'identité numérique qui sera généralisée dans toute la France d'ici le mois d'août. « C'est d'abord une question de protection de l'identité de chacun et de sa sécurité », explique la ministre déléguée auprès du ministre de l'Intérieur, chargée de la Citoyenneté, qui assure que le document, au format d'une carte bancaire, sera beaucoup plus difficile à falsifier.
● Le foot face au fléau des cambriolages. De Paris à Marseille, les soirs de matchs sont pour certains malfaiteurs l'occasion de cambrioler le domicile des joueurs. Angel Di Maria et Marquinhos en on fait l'amère expérience dimanche soir, pendant que le PSG sombrait face à Nantes. Des faits qui se multiplient et qui traumatisent joueurs et familles, parfois directement pris pour cible. Florent Balmont, ancien milieu de Lyon ou de Lille, se rappelle pour nous de cette terrible nuit de 2008 où il en a été victime.
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1 minute pour comprendre | | Pourquoi les variants sud-africain et brésilien ne flambent pas | L'info. Les trois principaux variants du SARS-CoV-2, à savoir ceux dits « britannique », « sud-africain » et « brésilien », n'évoluent pas de la même façon en France. Le premier représente désormais plus de 70% des tests positifs. Les deux autres variants, mesurés ensemble car une mutation commune est recherchée lors du criblage, n'en représentent qu'environ 5 % depuis fin février.
Comment l'expliquer ? Tout d'abord, le variant dit « britannique » est « entre 36 et 75 % » plus contagieux que la souche prédominante jusqu'au mois de janvier, d'après Santé publique France. « Ce variant britannique se transmet davantage que le virus qui circulait jusque-là, alors que ce n'est peut-être pas le cas des variants sud-africain et brésilien. En plus, on sait qu'il y a une compétition entre variants et celui qui arrive en premier a toujours une longueur d'avance », indique Yves Gaudin, virologue à l'institut de biologie intégrative de la cellule à Paris-Saclay et directeur de recherche au CNRS. La mutation P681H, qui figure sur ce variant dit « britannique » mais pas sur les deux autres, pourrait aussi « permettre au virus de pénétrer dans les cellules beaucoup plus efficacement », avance prudemment le virologue Björn Meyer.
Cela va-t-il forcément durer ? Non. « Aujourd'hui, V1 (le variant dit « britannique ») reste le problème principal car il est très certainement plus contagieux. Mais les deux autres pourraient devenir plus problématiques en raison de leur capacité à échapper en partie à la réponse immunitaire », anticipe le biologiste de l'évolution Samuel Alizon. Des cas de réinfection seraient alors possibles, rendant la propagation de ces deux souches plus importante. | |
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Environnement | | Ces écrans de pub lumineux à l'assaut des villes | Pour le 17e rendez-vous de #SauverLePresent avec France Culture, Science et Vie junior et Usbek & Rica, gros plan sur ces panneaux lumineux, dénoncés comme une pollution visuelle agressive et énergivore, qui étaient dans le viseur de la Convention citoyenne pour le climat. | |
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