| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. Au menu de votre newsletter en ce jeudi pluvieux... la pluie ! Grâce à des éclairages d'experts, nous avons cherché à savoir pourquoi elle tombait autant en ce moment. Nous ferons également le point sur les ajustements du calendrier vaccinal, la nouvelle stratégie «disruptive» d'Emmanuel Macron, l'affaire Richard Berry et celle, tentaculaire, mettant en cause des agents de la DGSE, les faux certificats de dépistage qui pullulent sur les réseaux sociaux et la victoire rassurante du PSG. Bonne lecture. |
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Cette édition a été préparée par Iris Peron, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Rien que de l'eau. Des précipitations continues depuis Noël, des sols gorgés d'humidité, des fleuves qui ne parviennent plus à évacuer le trop-plein… et voilà que la quasi-totalité de la France se retrouve les pieds dans l'eau. Le Lot-et-Garonne se trouve même en vigilance rouge pour les crues depuis hier soir et 17 autres départements ont été placés en vigilance orange. Le ciel nous tombe-t-il sur la tête ? Eléments de réponse.
● Le nouveau calendrier vaccinal. Entre les retards de certains laboratoires, l'accélération de la production promise par d'autres, et les autorisations en cours, le gouvernement a dû ajuster son calendrier de livraison des doses. Alors que l'exécutif prévoyait, début janvier, de disposer au total de 21 millions de vaccins contre le Covid-19 à la fin mars, la jauge a été ramenée à 16,3 millions. On vous explique ce qu'impliquent ces changements ici.
● Un appel à la mobilisation des Français. Qu'est-il sorti du dernier Conseil de défense, hier, à l'Elysée ? «Il a été assumé et rappelé les raisons du choix qui a été fait», celui de ne pas reconfiner le pays à ce stade de l'épidémie, souffle un conseiller de l'exécutif. «La situation est préoccupante, mais elle reste sous contrôle à ce stade et on peut encore éviter le confinement, si on se mobilise collectivement», insiste-t-on à Matignon. C'est ce message que devrait marteler Jean Castex, lors de sa conférence de presse en fin d'après-midi (voir plus bas).
● 60 000 morts en Espagne, qui ne reconfine pas. La barre des 60 000 décès dus au coronavirus a été franchie hier en Espagne qui, en pleine vague épidémique, n'a pas reconfiné sa population. Pour lutter contre le Covid-19, le gouvernement refuse de recourir à cette arme ultime, dont les conséquences pour l'économie risquent d'être très dures. De nombreuses provinces ont néanmoins instauré de fortes restrictions. Le point sur la stratégie de notre voisin.
● Affaire Richard Berry : une enquête ouverte. Le comédien est accusé de viols et d'agressions sexuelles par l'une de ses filles dans les années 1980, ce qu'il dément. Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire le 25 janvier à la suite de la plainte de Coline Berry, aujourd'hui âgée de 45 ans, qui affirme avoir «dû participer à des jeux sexuels dans un contexte de violences conjugales notoires». Des «allégations fausses», selon l'acteur et sa compagne de l'époque, la chanteuse américaine Jeane Manson - elle aussi visée par une plainte de son ex-belle-fille -, qui se dit «sidérée et profondément blessée d'être prise à partie dans un règlement de comptes familial».
● François Asselineau en garde à vue. Le président de l'UPR et ancien candidat à l'élection présidentielle est entendu depuis mercredi matin dans le cadre d'une enquête pour harcèlement sexuel, agression sexuelle et harcèlement moral. Elle a été ouverte sur la base d'accusations lancées par plusieurs de ses anciens collaborateurs. | |
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A suivre | Castex et Véran font le point | Et une nouvelle conférence de presse, une ! A 18 heures, le Premier ministre fera un point d'étape sur la situation sanitaire et les mesures de restrictions déjà mises en place pour lutter contre le Covid-19. L'occasion d'annoncer un nouveau tour de vis ? A priori, non, puisque ce rendez-vous, auquel participera également le ministre de la Santé, Olivier Véran, ainsi que d'autres membres du gouvernement, vise surtout à faire «un bilan des mesures de freinage», dont celles annoncées vendredi dernier par Jean Castex, alors que s'ouvre demain soir la période des vacances de février pour la zone A, la première concernée. | |
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Sentinelles | | Epilation : pourquoi les femmes se rebiffent | Une enquête de l'Ifop, que nous révélons en exclusivité, met en exergue un recul sans précédent des pratiques dépilatoires en France. Toutefois, la pression sociale d'une peau lisse pèse toujours beaucoup sur les corps féminins. | |
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1 minute pour comprendre | | Comment un trafic de faux certificats de dépistage sévit sur Snapchat | L'info. Sur Snapchat, des faussaires proposent des certificats de dépistage au Covid-19 en échange de quelques dizaines d'euros. Ces faux sont conçus à partir de vrais documents, fournis par des laboratoires, sur lesquels il suffit de modifier numériquement le nom du patient, son adresse, sa date de naissance, ainsi que la date de prélèvement.
A quoi cela sert-il ? La plupart des revendeurs proposent des certificats négatifs pour permettre aux voyageurs de partir à l'étranger sans avoir à se rendre en laboratoire - et risquer d'être testés positifs, ce qui annulerait leur séjour. Certains proposent aussi des certificats affichant un résultat positif, à utiliser pour éviter d'aller au travail, ou pour décaler un rendez-vous judiciaire.
Combien de ces faux documents sont utilisés ? Difficile à dire. Dans les aéroports, la police aux frontières vérifie seulement que les voyageurs ont bien leur certificat du laboratoire, sans authentifier le document. Impossible donc de chiffrer concrètement le nombre de certificats biaisés. Après plusieurs arrestations sur le continent de revendeurs de faux tests dans les aéroports, Europol, l'agence de police européenne, a récemment lancé une alerte sur le sujet, mais admet que, tant que les restrictions aux frontières perdureront, les faussaires trouveront toujours des moyens pour produire et vendre des faux certificats. | |
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| Merci d'avoir lu cette newsletter. On se retrouve demain, à 7h30. D'ici là, passez une excellente journée et n'oubliez pas de souhaiter une bonne fête aux Véronique et aux Vanessa de votre entourage. |
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