| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la une ce dimanche, l'inquiétant crépuscule de Donald Trump, banni de Twitter dans la nuit de vendredi à samedi et sous la menace d'une nouvelle procédure de destitution. «Est-il normal qu'un homme comme lui dispose du pouvoir nucléaire ?», s'interroge un spécialiste des Etats-Unis. Egalement au menu de votre newsletter dominicale, huit nouveaux départements soumis dès aujourd'hui (et deux de plus mardi) à un couvre-feu anticipé, un important cluster du variant britannique détecté près de Marseille, des témoignages poignants de victimes d'inceste qui brisent l'omerta et la victoire du PSG face à Brest. Bonne lecture. |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● L'inquiétant crépuscule de Trump. Contesté comme jamais, banni de Twitter, menacé de destitution, le président américain vit ses derniers jours au pouvoir tel un paria. A la suite des violences survenues au Capitole le 6 janvier, deux des émeutiers les plus remarqués - l'homme à la coiffe de bison et le «voleur de pupitre» - viennent d'être interpellés. Mais le président sortant n'a peut-être pas dit son dernier mot : alors qu'on lui prête l'intention de créer son propre réseau social, les services de sécurité redoutent une nouvelle démonstration de force de ses partisans lors de la cérémonie d'investiture de Joe Biden.
● Un cas du variant britannique près de Marseille. Il a été détecté parmi les 21 contaminations recensées dans un cluster familial «élargi» dans les Bouches-du-Rhône. Dans ce département, qui passe sous couvre-feu ce soir à 18 heures, la situation reste «particulièrement préoccupante», avec un taux d'incidence supérieur à 225 pour 100 000 habitants, selon le préfet Christophe Mirmand.
● Plus de 20 000 nouveaux cas en France. Hier, 20 177 tests positifs ont été recensés. On dénombre aussi 171 décès à l'hôpital, contre 157 samedi dernier. Ce qui porte à au moins 67 599 le nombre de morts liées au Covid-19 dans le pays, selon les autorités. Tout au long de la journée, vous pourrez suivre les dernières actualités liées à la crise du coronavirus dans notre direct.
● Une tempête de neige paralyse Madrid et fait trois morts. Les images de l'Espagne sous la neige pourraient faire rêver si le bilan de la tempête Filomena n'était pas si dramatique. Trois personnes ont trouvé la mort dans la région de la capitale à la suite des précipitations historiques qui s'abattent depuis deux jours. L'une de ces victimes est un homme retrouvé enseveli sous la neige à Zarzalejo, au nord-ouest de Madrid, a précisé le ministre de l'Intérieur. Les axes routiers, ferroviaires et aériens ont tous été coupés et les autorités demandent à la population de rester chez elle.
● Crash d'un Boeing 737 en Indonésie. L'appareil, qui transportait 62 personnes, s'est abîmé dans la mer de Java hier quelques minutes après son décollage de la capitale Jakarta. L'avion appartenaît à la compagnie à bas coût Sriwijawa Air. D'intenses opérations de recherche sont lancées et les autorités ont annoncé avoir retrouvé des morceaux de corps et des débris de l'appareil. | |
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A suivre | Huit nouveaux départements sous couvre-feu à 18 heures | En fin de journée, huit nouveaux départements verront leur couvre-feu avancé à 18 heures au lieu de 20 heures pour le reste de la France. Il s'agit du Bas-Rhin, du Haut-Rhin, de l'Allier, du Cher, de la Côte-d'Or, du Vaucluse, des Bouches-du-Rhône et des Alpes-de-Haute-Provence. En revanche, l'Yonne et la Haute-Savoie, pourtant évoqués par Jean Castex jeudi, ne basculent finalement pas. 23 départements seront ainsi, dès ce soir, soumis à cette mesure anticipée. Ils seront bientôt rejoints par le Var et la Drôme : les préfets ont annoncé l'adoption du couvre-feu à 18 heures dès mardi prochain. | |
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1 minute pour comprendre | | Donald Trump banni de Twitter, une décision inédite et critiquée | Les faits. Coup de tonnerre sur Twitter : à 10 jours de la fin de son mandat, le président américain a été éjecté de son réseau social préféré. Une décision historique de la plateforme, qui fait débat.
Le président sortant pourra-t-il encore communiquer ? Désormais bloqué de Twitter, mais aussi de Facebook, Snapchat, YouTube et Twitch, Donald Trump n'a plus que des options limitées pour s'exprimer sur les réseaux sociaux. De nombreux partisans craignent que le président ne puisse plus prendre la parole. Pourtant, plusieurs personnalités américaines ont tenu à rappeler que Twitter n'est pas le canal principal de communication du chef de l'Etat, et que le milliardaire peut encore s'exprimer par le biais des communiqués de presse de la Maison Blanche.
Quelles pourraient être les conséquences ? Le risque est désormais que les partisans de Trump migrent sur d'autres plateformes alternatives comme le «Facebook russe» VKontact, RuTube, Libry, Odysee, Me We, Rumbler… où la modération est beaucoup moins importante, voire inexistante. Pour éviter cela, le réseau social de Google, Parler, très utilisé chez les soutiens du président, a déjà été retiré du magasin d'applications. En réponse, Donald Trump a évoqué le possible lancement de sa propre plateforme dans un futur proche.
Est-ce une première ? Le président d'un Etat n'avait jamais, jusque-là, fait l'objet de telles sanctions virtuelles. Mais d'autres organisations ou personnalités publiques ont déjà été bannies des réseaux sociaux ou ont vu leurs messages supprimés. Hier, Twitter a par exemple supprimé une publication du guide suprême iranien, Ali Khamenei, affirmant qu'il était impossible de faire confiance aux vaccins américains et britanniques contre le Covid-19. Et avec la multiplication des fausses informations sur la vaccination et les récentes violences du Capitole, les réseaux sociaux, souvent critiqués pour leur laxisme, devraient encore durcir leurs conditions d'utilisation. | |
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| «J'ai donné l'ordre à la police et la gendarmerie que 100% des plaintes soient prises» | Marlène Schiappa, ministre déléguée à la Citoyenneté, au sujet des violences conjugales qui ont augmenté de 60% pendant le second confinement. | |
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| Merci d'avoir lu cette newsletter. On se retrouve demain, à 7h30. D'ici là, passez une excellente journée et n'oubliez pas de souhaiter une bonne fête aux Guillaume de votre entourage. |
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