| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la une de votre newsletter ce dimanche, le coup de gueule de l'ancien directeur général de la Santé au sujet de la vaccination en France et le couvre-feu à 18 heures entré en vigueur hier dans 15 départements. Mais l'actualité, c'est aussi la rave-party qui inquiète les autorités sanitaires en Bretagne, l'armée française à nouveau endeuillée au Mali et l'arrivée de Mauricio Pochettino au PSG. Ne manquez pas, enfin, notre enquête sur l'ultra-droite. Bonne lecture. |
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Cette édition a été préparée par Sébastien Coca, chef de service adjoint au pôle News
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On en parle | | | ● Une vaccination toujours trop lente ? Malgré la promesse d'Emmanuel Macron d'accélérer la campagne et les premières injections chez des soignants, le débat sur le retard de la France reste toujours très vif. L'ancien directeur général de la Santé, William Dab, tacle les autorités dans une interview au Parisien. « L'accélération est déjà engagée », lui répond de son côté Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement.
●Couvre-feu avancé, plus de 6 millions de Français concernés. Quinze départements sont soumis depuis hier à une mesure inédite depuis le début de la crise sanitaire : un couvre-feu dès 18 heures. C'est le cas notamment à Reims, où la mesure est globalement respectée par les habitants, même si beaucoup doutent de son efficacité.
● L'armée française à nouveau endeuillée au Mali. L'Elysée et le ministère des Armées ont annoncé hier soir la mort du sergent Yvonne Huynh et du brigadier Loïc Risser, du 2e régiment de hussards de Haguenau ce samedi. Comme les trois autres soldats français décédés lundi dernier, ils ont été victimes d'un engin qui explosé au passage de leur véhicule.
● Une rave-party qui inquiète. La fête est finie, mais l'histoire n'est pas terminée. Après le départ des milliers de raveurs qui ont fêté le Nouvel An dans des hangars près de Rennes, les enquêteurs s'efforcent désormais d'identifier les organisateurs. Les autorités sanitaires, elles, craignent que l'événement devienne un cluster et que les fêtards propagent le virus du Covid-19.
● Pochettino est Parisien. Il y a un nouveau shérif en ville. L'arrivée de l'Argentin Mauricio Pochettino au poste d'entraîneur du PSG a été officialisée hier par le club, plus d'une semaine après l'annonce du licenciement de Thomas Tuchel. L'ancien défenseur du club dirigera son premier entraînement aujourd'hui au camp des Loges et se veut déjà ambitieux sur ce qu'il veut faire à Paris.
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1 minute pour comprendre | | Faut-il repousser la deuxième dose de vaccin pour toucher plus de monde ? | L'info. Au Royaume-Uni, confronté à une forte augmentation des contaminations et du nombre de lits occupés à l'hôpital, une première dose du vaccin contre le Covid-19 est désormais administrée au plus grand nombre possible de personnes vulnérables. Quant à la deuxième, elle est repoussée à douze semaines plus tard, au moins.
Pourquoi cela pose-t-il question ? Pour le vaccin Pfizer/BioNTech (le seul déjà administré), le délai prévu entre les deux injections est de trois semaines. Sans ces deux injections, l'efficacité est moindre : la protection attendue est estimée entre 52 et 80% avec une seule dose contre 95 % avec deux injections. Le problème est que l'on « ne sait pas comment se maintient l'efficacité du vaccin au-delà de 28 jours avec une seule dose, car on n'a pas d'éléments chiffrés à partir des essais cliniques », met en garde Jean-Daniel Lelièvre, chef de service des maladies infectieuses de l'Hôpital Henri-Mondor (Créteil). « Les essais cliniques n'ont pas été faits sur cette base de repousser la deuxième injection. On sait que le vaccin Pfizer est efficace à 95 % avec deux doses. Le reste, on ne peut pas savoir », renchérit l'immunologiste Stéphane Paul, membre du Comité Vaccin Covid-19.
Et en France ? Alors que Pfizer/BioNTech connaît des difficultés pour approvisionner certains pays, cette stratégie britannique pourrait-elle faire des émules ? En Allemagne, « il vaut vraiment la peine d'envisager de donner la première dose en premier s'il y a un manque de vaccins », a indiqué le président de la Commission permanente de vaccination à l'Institut Robert Koch. En France, les données sur lesquelles ont travaillé les experts portent sur « un schéma vaccinal en deux doses » à trois semaines d'intervalle. « On préfère maintenir le choix qui a été fait, basé sur les études scientifiques », indique-t-on au ministère de la Santé. | |
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| Merci d'avoir lu cette newsletter. On se retrouve demain, à 7h30. D'ici là, passez une excellente journée. |
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