| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. Dans l'actualité de ce samedi, les fêtes de fin d'année et notamment le casse-tête du Nouvel An sous couvre-feu, la très sensible question des effets indésirables des vaccins, le Brexit qui approche et le fiasco Téléfoot. Bonne lecture, et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Un 31 sous surveillance. Plus qu'une semaine avant les vacances de fin d'année, et pour ceux qui avaient prévu de se déplacer le soir du Nouvel an, c'est le branle-bas de combat pour revoir ses plans. Le couvre-feu sera bien de la partie, et nous vous détaillons ici ce qui sera autorisé, ce qui ne le sera pas... et ce que vous risquez.
● Gueule de bois pour la culture. Au lendemain de l'annonce par l'exécutif de sa décision de ne pas rouvrir les salles de spectacle, musées et cinémas au 15 décembre, le secteur tout entier, et une partie de la classe politique accuse le gouvernement «tuer la culture». Et tous les regards sont tournés vers la ministre Roselyne Bachelot, dont l'absence jeudi soir lors de ces annonces a été remarquée...
● Mediapro, et maintenant ? Le foot français a plongé hier dans une zone d'incertitude, avec l'officialisation du divorce entre la Ligue et son principal diffuseur Mediapro, incapable de tenir ses engagements financiers. On vous decrypte les tenants et aboutissants d'un dossier brûlant.
● Brexit, no-deal ? Le Premier ministre britannique Boris Johnson a estimé ce vendredi « très très probable » l'échec des discussions avec l'Union européenne sur un accord régissant leurs futures relations commerciales après le Brexit. La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen s'est montrée tout aussi pessimiste quant aux chances de succès d'ici dimanche. On vous explique toutes les conséquences qu'un désaccord définitif pourrait avoir.
● Feu vert au vaccin Pfizer aux Etats-Unis. L'agence américaine des médicaments a autorisé le vaccin développé par Pfizer/BioNTech, ouvrant la voie à une campagne de vaccination qui devait débuter «dans moins de 24 heures», a annoncé Donald Trump.
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Vos questions, nos réponses | | Déconfinement, les détails pratiques. Jean Castex a levé jeudi soir le voile sur les modalités de la phase 2 du déconfiement, prévue mardi prochain. À la clé, le maintien de mesures très contraignantes pour les semaines à venir, avec l'entrée en vigueur d'un couvre-feu avancé et un simple allègement uniquement pour Noël. Quels déplacements seront autorisés à compter du 15 décembre ? Les attestations sont-elles maintenues ? Comment vont se passer les fêtes de fin d'année ? Le Parisien répond à toutes vos questions. | |
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1 minute pour comprendre | | Une, deux, trois, quatre vagues : pourquoi une épidémie à plusieurs vitesses | L'info. Un an de pandémie, la planète entière touchée… mais tous les pays du monde n'ont pas « subi » le Covid-19 à la même vitesse. Si certains Etats ont récemment passé leur premier pic épidémique, d'autres en sont déjà à leur deuxième voire à leur troisième vague. « C'est le principe même d'une pandémie, ce n'est pas comme si on versait un seau de peinture sur une planète et que ça s'étendait à tous les endroits de la même façon », souligne la médecin Anne Sénéquier.
Comment l'expliquer ? D'une part, le virus parti de Chine en janvier 2020 semble être arrivé en Amérique latine plus tard qu'en Europe ou qu'aux Etats-Unis. Par ailleurs, dans les Etats situés dans l'hémisphère sud, la saison hivernale, propice à la circulation du virus, a lieu pendant notre été. Tout dépend aussi des mesures qui sont prises. En Europe, les principaux pays ont imposé un confinement assez strict à tous leurs habitants au printemps, stoppant assez vite l'envolée épidémique. Mais une deuxième vague s'est abattue sur tout le continent depuis la fin de l'été. « J'entends des éditorialistes, des journalistes, dire 'est-ce qu'il y a un risque de troisième vague ?' Mais il faudrait déjà qu'on soit sortis de la deuxième ! », a lâché le ministre de la Santé Olivier Véran.
Quid aux Etats-Unis ? La troisième vague, certains pays y sont déjà confrontés. Aux Etats-Unis, elle s'annonce même bien plus grave que les deux premières, le nombre quotidien de morts ayant déjà battu les sommets atteints en avril puis en juillet dernier. Mais si on peut parler de « troisième vague », très peu des 50 Etats américains ont été touchés à chaque fois. Ce qui n'est pas étonnant, s'agissant d'un pays grand comme quinze fois la France.
Plus d'une minute à nous consacrer ? Voici notre article.
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