| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la une ce mardi, la générosité du grand gagnant de l'EuroMillions, qui veut aider les hôpitaux, le vaccin Pfizer validé par l'Europe, notre enquête sur le phénomène des anti-vaccins, les témoignages de Français bloqués en Angleterre à cause du Covid-19, nos conseils pour un dîner du 24 décembre à petit prix, le PSG et ses problèmes de blessés et une interview de George Clooney. What else ? Bonne lecture, et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Tanguy de l'Espinay, chef de service au pôle News
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On en parle | | | ● Les rêves du gagnant de l'EuroMillions. Il vient d'encaisser 200 millions, le plus gros gain jamais remporté en France. Et on vous en dit plus sur cet homme qui réside dans le sud de la France, mais pas en Gironde comme des rumeurs le disaient. Selon nos informations, il veut créer une fondation et faire des dons aux établissements hospitaliers mis à mal en ce moment. Portrait d'un retraité à la générosité XXL.
● L'Europe dit oui à Pfizer. Pas une surprise, mais c'est désormais officiel : l'Union européenne a validé le dossier complet du vaccin anti-Covid-19 de Pfizer et BioNTech. « Pour le moment, il n'existe aucune preuve suggérant que ce vaccin ne soit pas efficace contre la nouvelle variante » observée principalement au Royaume-Uni, a également précisé la directrice générale de l'Agence européenne des médicaments. La vaccination doit commencer dans les prochains jours France. Voici tout ce qu'il faut savoir.
● La France s'est-elle déconfinée trop tôt ? Alors que les chiffres de l'épidémie de Covid-19 continuent de susciter l'inquiétude et que les fêtes de Noël approchent, nous avons demandé à plusieurs spécialistes pourquoi les contaminations ne baissaient plus. Pour l'heure, le gouvernement n'a pas prévu de changer de règles pour le 24 décembre, contrairement à certains de nos voisins, qui ont durci les restrictions.
● BoJo dans la tourmente. Face à la progression de l'épidémie, le Premier ministre britannique a décidé de resserrer la vis pour Noël. Son revirement mécontente ses concitoyens et vient aggraver une crise politique déjà affectée par le peu de progrès des négociations en matière de Brexit. L'analyse de notre correspondante à Londres.
● Didier Raoult visé par une plainte. Déjà visé par une plainte de l'ordre des médecins des Bouches-du-Rhône où il officie, en raison de ses prises de position répétées en faveur de l'hydroxychloroquine, le professeur fait désormais l'objet d'une plainte du Conseil national de l'ordre des médecins. Il n'est pas le seul dans le viseur de l'organisme : cinq autres personnalités, dont Christian Perronne, sont également poursuivies. | |
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L'image de la nuit | | | Après le vice-président Mike Pence est venu le tour du prochain chef d'Etat américain. Le président élu des Etats-Unis, Joe Biden, 78 ans, a reçu lundi en direct devant les caméras de télévision la première dose d'un vaccin contre le Covid-19. Lire l'article. | |
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1 minute pour comprendre | | L'inquiétante courbe qui frappe l'Angleterre | L'info. Depuis le début du mois de décembre, les indicateurs de l'épidémie de Covid-19 s'envolent au sud-est de l'Angleterre. A Londres, le taux d'incidence, c'est-à-dire le nombre de personnes positives sur les sept derniers jours pour 100 000 habitants, a triplé en moins de vingt jours. Il s'élève désormais à près de 500, soit près du double du niveau pour toute l'Angleterre. À titre de comparaison, sur la même période, il est de 140 sur la métropole du Grand Paris.
Comment l'expliquer ? Le nouveau variant du coronavirus SARS-CoV-2, apparu mi-septembre au Royaume-Uni, serait à l'origine de cette flambée des contaminations. Cette nouvelle souche est « jusqu'à 70 % plus transmissible », s'est alarmé samedi le Premier ministre britannique, Boris Johnson. Des études scientifiques devront encore confirmer ce point. Mais déjà, à Londres, ce variant est désormais responsable de plus de 60 % des nouvelles infections contre 28 % à la mi-novembre, ont mis en garde les autorités. Cela étant, « la souche se transmet davantage mais on ne sait pas encore si elle est plus virulente », indique François Maignen, docteur en pharmacie installé dans la capitale anglaise. Il juge également que « les gens n'ont pas forcément bien respecté le deuxième confinement, moins strict, avec un sentiment de lassitude ». Le pays avait été mis sous cloche jusqu'au 2 décembre.
Quelles sont les conséquences ? Cette forte augmentation du nombre de personnes infectées a déjà entraîné une recrudescence des hospitalisations. Chaque jour, 275 personnes en moyenne sont désormais admises à l'hôpital dans le Grand Londres, soit près de deux fois plus qu'il y a vingt jours. 2543 personnes sont actuellement hospitalisées dans la capitale et son agglomération, sur un total de plus de 15 000 en Angleterre.
Vous avez plus d'une minute ? Lisez notre décryptage.
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