| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. Un match interrompu du PSG pour cause d'insulte raciste : c'est un geste inédit sur lequel nous revenons aujourd'hui. Dans l'actualité aussi, l'exécutif qui tergiverse au moment de franchir la deuxième étape d'un déconfinement de plus en plus incertain, la loi sur le séparatisme et le mystère des chevaux mutilés. Bonne lecture, et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Un geste historique au Parc des Princes. Le match entre le PSG et le club turc de Basaksehir n'a pas pu aller à son terme hier soir. En cause : le comportement du 4e arbitre, accusé par les Stambouliotes d'avoir proféré des propos racistes. Ce sont les joueurs eux-mêmes qui ont décidé d'interrompre la rencontre. Après plus de deux heures de discussions, il a finalement été décidé de reporter le match à ce soir, 18h55. Il redémarrera à la 14e minute, avec de nouveaux arbitres.
● Déconfinement. La France va-t-elle oui ou non sortir du confinement comme prévu, après le week-end prochain? Face à un virus du Covid-19 toujours actif, l'exécutif n'exclut pas de modifier ses plans. On vous dit tout ici.
● Où est passée la grippe ? Selon les chiffres qui seront rendus publics aujourd'hui, il n'y avait la semaine dernière que six personnes hospitalisées pour la grippe. Un record dû aux gestes barrière. Par ailleurs, les taux de vaccination atteignent des niveaux inégalés en Ehpad.
● Crash mortel en Savoie. Un hélicoptère s'est écrasé hier soir, vers 19h10, en Savoie, à 1800 mètres d'altitude. Cinq occupants ont trouvé la mort tandis que le pilote est grièvement blessé. C'est lui qui, selon nos informations, a pu donner l'alerte.
● Deuil national pour Valéry Giscard d'Estaing. Une minute de silence sera organisée à midi dans plusieurs institutions et les drapeaux des bâtiments officiels seront mis en berne aujourdhui à la mémoire de VGE, président de la République de 1974 à 1981, et décédé à l'âge de 94 ans le 2 décembre des suites du Covid-19.
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A suivre | | Le très attendu projet de loi sur le séparatisme est présenté ce matin en Conseil des ministres. Le gouvernement a choisi au dernier moment d'encadrer plus strictement la scolarité à domicile tout en étendant les exceptions possibles au principe de l'instruction à l'école, a-t-on appris hier. Ce texte doit arriver début 2021 à l'Assemblée nationale où la majorité, attaquée par les oppositions, doit aussi gérer ses divisions internes sur le sujet hautement sensible de la laïcité. | |
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1 minute pour comprendre | | Le mystère des chevaux mutilés est-il levé? | L'info. Alors que des mutilations continuent d'être découvertes ces dernières semaines, en onze mois, la gendarmerie dit avoir été sollicitée pour « 499 faits d'actes de cruauté ou de décès d'équidés ». Dans un bilan daté du 3 décembre, ses enquêteurs rapportent que « 81 sont formellement d'origine humaine », « 65 font l'objet d'investigations complémentaires ou demeurent douteux » et « 353 sont écartés du phénomène en raison de causes naturelles », soit plus de 70 % des faits. Aucun suspect n'a, à ce jour, été mis en cause.
Comment l'expliquer? Il n'est pas rare que les animaux se blessent seuls. « Les chevaux sont des animaux avec un épiderme fragile, qui ont une grosse capacité à se blesser à des endroits improbables », répond Mathilde Dhollande, chargée de communication pour le système d'information relatif aux équidés (SIRE), qui gère le numéro vert destiné aux propriétaires. « Le mois dernier, nous avons eu le cas de deux chevaux qui se sont blessés seuls. L'un s'est écorché sur du barbelé et l'autre s'est frotté alors qu'il avait un œdème », nous rapporte aussi l'officier de communication de la gendarmerie pour la région Normandie, à propos d'un phénomène qui, dans sa zone, « a émergé et s'est étiolé, même si les patrouilles continuent ».
Et quid des cas où l'acte humain est confirmé ? Il reste à ce jour près de 140 enquêtes sur lesquelles planchent les enquêteurs. Une liste conséquente pour une filière dont le traumatisme reste à vif. « J'appelle une fois par semaine la gendarmerie pour savoir où ça où en est. On n'a pas encore les résultats de la nécropsie (l'autopsie du cheval) et pour les analyses de sang et des écouvillons, il faut attendre plusieurs semaines », nous détaille Vinciane, dont Canaly, l'un de ses cinq chevaux, a été retrouvé atrocement mutilé, avec l'oeil et les organes génitaux découpés mi-novembre. Le parquet a dès le départ exclu que cette mort soit liée à un acte animal, mais les investigations se poursuivent pour trouver le ou les auteurs. Aujourd'hui, l'éleveuse de l'Hérault se dit « combative », mais aussi « totalement dans le flou ».
Plus d'une minute à nous consacrer ? Voici notre enquête.
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