| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. Au programme de votre newsletter aujourd'hui, la disparition de l'ancien président Valéry Giscard d'Estaing, décédé hier «des suites du Covid». Nous revenons également sur les terribles chiffres de la solitude, l'autre épidémie à laquelle 7 millions de Français sont confrontés. A lire aussi, les heures creuses d'EDF parfois plus chères que les tarifs normaux ou encore la victoire réconfortante du PSG face à Manchester United. Bonne lecture ! |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● VGE s'est éteint. L'ancien chef de l'Etat est décédé hier à l'âge de 94 ans, «des suites du Covid», dans sa propriété d'Authon (Loir-et-Cher), ont annoncé ses proches. Entré à l'Elysée à 48 ans, il fut le plus jeune président de la Ve République lors de son élection en 1974.
● «Le président qui aura le plus réformé la société.» Eric Roussel, biographe de l'ancien chef de l'Etat, revient sur les batailles qu'a menées Valéry Giscard d'Estaing pour imposer des réformes comme l'IVG ou la majorité à 18 ans. L'intégralité de son analyse ici.
● Une présidence moderne… et monarchique. VGE voulait apparaître plus proche des Français, mais restait attaché à une certaine étiquette… et à ses origines royales. Le saviez-vous? Il se vantait en effet d'être un descendant de Louis XV.
● Les mots de la classe politique. Un modernisateur et un Européen convaincu. Voici les deux qualificatifs qui reviennent le plus dans les multiples hommages rendus à Valéry Giscard d'Estaing. L'«admiration» de Sarkozy, le «cœur gros» de Raffarin, Macron qui salue un «immense serviteur de l'Etat»... Tous lui rendent hommage.
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A suivre | | Emmanuel Macron chez Brut. Après une longue séquence d'allocutions dans le cadre de la crise du Covid-19, le président de la République va s'adresser dans quelques heures aux Français, et notamment aux plus jeunes d'entre eux, via un support inhabituel : Brut, le média de vidéos en ligne. A partir de 16 heures, et pour deux heures en direct, il répondra aux questions de trois journalistes, dont Rémy Buisine, puis se pliera à l'exercice, parfois périleux, des questions-réponses avec les internautes. Preuve que Brut et d'autres, à l'image de Loopsider qui a révélé l'affaire Michel Zecler, se sont imposés ces dernières années dans le paysage médiatique français. Jusqu'à l'Elysée. | |
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1 minute pour comprendre | | La contre-offensive de la Chine sur l'origine du Covid-19 | L'info. La Chine cherche à se dédouaner d'une quelconque responsabilité dans l'origine de la pandémie de Covid-19. Pour le Quotidien du peuple, média officiel du régime, le virus ne vient pas de Wuhan, la grande ville où sont pourtant apparus les premiers malades. Et l'ambassade de Chine en France a partagé une vidéo remettant en cause l'origine géographique des premiers cas.
Quel crédit y apporter ? La chercheuse Valérie Niquet ne se dit « pas du tout étonnée » par cette stratégie. « C'est très important pour les dirigeants chinois de construire des scénarios selon lesquels le pays ne serait pas responsable de la pandémie, à la fois auprès de leur population et vis-à-vis de l'étranger », ajoute cette experte de la Fondation pour la recherche stratégique. « L'objectif premier n'est pas forcément de convaincre que ça ne vient pas de Chine, mais plutôt d'instiller un doute », complète son collègue Antoine Bondaz.
Que reste-t-il à savoir ? Les premiers malades officiellement signalés dans le monde l'ont bien été à Wuhan. Mais si le coronavirus SARS-CoV-2 est d'abord apparu chez l'animal, vraisemblablement une chauve-souris, on ne connaît pas encore l'espèce qui a causé le passage à l'homme. « Il y a plusieurs précédents, comme celui du SRAS, dont le virus est passé de l'animal à l'homme en Chine en 2003. Ce n'est donc pas complètement farfelu de penser que c'est similaire cette fois-ci, même s'il n'y a encore aucune preuve définitive », souligne le journaliste Pierre Haski. Néanmoins, « si les dirigeants chinois étaient vraiment sûrs de leur coup et voulaient démontrer que le virus ne venait pas de Chine, ils laisseraient les experts de l'OMS venir travailler », ajoute-t-il malicieusement.
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