| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. Dans l'actualité de ce dimanche, la nouvelle vie du mystérieux gagnant du jackpot de l'Euro Millions et la mobilisation contre la loi Sécurité globale. A lire également : notre interview de Rachida Dati, les témoignages de médecins menacés par des anti-vaccins et notre décryptage du fiasco Mediapro. Bonne lecture, et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Le Français le plus heureux du week-end. Il ou elle va toucher 200 millions d'euros, la cagnotte record de l'EuroMillions, et sa vie ne sera plus jamais la même. Nous vous racontons ce qui l'attend ces prochains mois et comment les grands gagnants dépensent généralement leurs premiers euros.
● Des manifestations et des tensions. Hier, plus de 26000 manifestants, dont 5000 à Paris, ont défilé dans les rues de plusieurs grandes villes de France contre la proposition de loi Sécurité globale. Un chiffre national en baisse par rapport aux précédents samedis de mobilisation. Dans la capitale, le nombre d'interpellations (140) a, lui, été en forte hausse et la nouvelle stratégie des forces de l'ordre a endigué l'action des casseurs.
● Les Américains prêts à vacciner. C'est parti, le vaccin Pfizer-BioNTech vient d'être autorisé aux Etats-Unis. « Le premier sera administré dans moins de 24 heures », a déclaré hier le président Donald Trump. Pour le patron de l'infectiologie à l'hôpital parisien Tenon, Gilles Pialoux, ce coup d'accélérateur ne doit pas faire douter de sa fiabilité.
● Un Noël comme les autres pour les résidents des Ehpad ? A l'approche des fêtes, le protocole en vigueur dans les établissements pour personnes âgées a été assoupli. Les sorties seront autorisées sous conditions, tandis que les consignes concernant les visites seront allégées pour « permettre aux familles de se retrouver dans des conditions plus conviviales ».
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A suivre | | Le Brexit dans le money-time. Londres comme Bruxelles affichent leur pessimisme sur la possibilité d'un accord commercial permettant d'éviter une sortie brutale du Royaume-Uni de l'UE, le 31 décembre. Mais les négociations continuent ce week-end. C'est avant ce soir que les négociateurs David Frost et Michel Barnier, mandatés par leurs patrons respectifs, le Premier ministre britannique Boris Johnson et la présidente de la Commission européenne Ursula von Der Leyen, doivent trouver un accord in extremis… ou conclure à l'inéluctabilité d'un « no deal ». Ce qui ne serait pas sans conséquences pour les Français. | |
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1 minute pour comprendre | | Fin de la chaîne Téléfoot : le football français a-t-il fermé les yeux ? | L'info. Deux ans et demi après s'être adjugé 80 % des droits de la Ligue 1 et 2, Mediapro a dû jeter l'éponge et annoncer la disparition prématurée de sa chaîne Téléfoot. Une surprise ? Dès mai 2018, Maxime Saada, le président du directoire de Canal +, émettait pourtant des doutes sur la rentabilité des investissements du groupe sino-espagnol et sur sa surface financière. Analysés comme une manifestation de dépit, voire d'amertume, les doutes du grand perdant de l'appel d'offres auraient-ils dû alerter le foot français ?
Des signaux avant-coureurs. Dès 2018, en Italie, la Lega Serie A retoque Mediapro par manque de garanties financières, après lui avoir dans un premier temps accordé les droits du championnat 2018-2021. Pas la France, où son business plan suscite pourtant l'interrogation des économistes : pour être rentable, Mediapro doit attirer plusieurs millions d'abonnés alors même que son offre est jugée chère ! Reste alors la possibilité de sous-licencier les droits de la Ligue 1 à Canal +. Mais c'est encore un échec.
Le foot français a-t-il trop voulu y croire ? On peut donc se demander, dans ces conditions, pourquoi les dirigeants français ont foncé tête baissée. A l'exception de Nasser al-Khelaïfi, le président du PSG (et de beIN Sports, lui aussi perdant de l'appel d'offres), aucun président de club n'a fait part de ses doutes. Appâtés par l'augmentation des droits promise, les acteurs du foot français ont longtemps cru que l'actionnaire chinois majoritaire à 53,5 % de Mediapro n'abandonnerait jamais le groupe espagnol en cas de défaillance. Ils se sont là aussi trompés. A ce jour, la Chine n'a d'ailleurs toujours pas commenté le tremblement de terre survenu en France.
Plus d'une minute à nous consacrer ? Voici notre article.
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