| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. Au programme de votre newsletter aujourd'hui, des manifestations une nouvelle fois marquées par une flambée de violences hier. A lire également une grande interview du général Pierre de Villiers, l'évolution de l'épidémie de Covid-19 en France à l'approche du 15 décembre, le mystère des vols de singes à tête dorée, une série documentaire sur DSK et enfin la belle victoire du PSG face à Montpellier. Bonne lecture ! |
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Cette édition a été préparée par Rosalie Lucas, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Violences dans les rues parisiennes. Une nouvelle fois, la manifestation parisienne contre la loi contre la Sécurité globale a dégénéré à certains endroits de la capitale. En marge du cortège pacifiste composé d'associations et de responsables politiques, des heurts entre casseurs et forces de l'ordre ont rapidement éclaté. Au moins 30 personnes ont été interpellées et deux CRS blessés à Nantes.
● Pierre de Villiers et la «crainte de la guerre civile». L'ancien chef d'Etat major des armées, qui avait démissionné avec fracas au début du quinquennat d'Emmanuel Macron, est inquiet. «Devant les crises qui s'empilent, la France peut basculer», alerte l'ancien militaire, auteur d'un troisième livre en trois ans.
● Bercy force la main aux assureurs. Bruno Le Maire, le ministre de l'Economie, devrait obtenir le gel des primes en 2021 pour les professionnels de l'hôtellerie et de la restauration, mais aussi d'autres coups de pouce. Une pression qui n'est pas du goût du PDG d'Axa France qui juge «scandaleux ce chantage».
● VGE. Les obsèques de l'ancien président de la République Valéry Giscard d'Estaing ont eu lieu hier dans le petit village d'Authon (Loir-et-Cher) dans la plus stricte intimité. Une quarantaine de personnes, de la famille et du cercle proche, ont accompagné le cercueil recouvert par deux drapeaux, l'un français, l'autre européen, à la demande de l'ancien président.
● Sonde japonaise. Les échantillons largués ce samedi par la sonde japonaise Hayabusa-2 au-dessus de l'Australie ont touché le sol en fin d'après-midi. Ces prélèvements de poussières et de roches pourraient donner de nouvelles indications sur la création de notre système solaire.
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A suivre | | Sissi à Paris. Abdel Fattah al-Sissi, le président égyptien, arrive aujourd'hui en France, et cela ne fait pas que des heureux. Cette visite d'Etat, qui doit durer jusqu'à mardi, prévoit notamment une procession militaire des Invalides à l'Elysée, un passage à l'Arc de Triomphe ainsi que des rencontres au plus haut niveau politique. Mais une manifestation est déjà prévue mardi devant l'Assemblée nationale à l'appel d'une vingtaine d'ONG qui demandent que la France «passe des discours aux actes» et conditionne son soutien militaire à l'Egypte à la libération des prisonniers politiques. Pour Emmanuel Macron, qui a été la cible d'attaque dans plusieurs pays arabes ces dernières semaines, cette visite représente aussi un enjeu diplomatique fort.
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1 minute pour comprendre | | La polémique autour de la plateforme contre les discriminations | L'info. Lors de son entretien donné vendredi au média Brut, Emmanuel Macron a dénoncé les contrôles au faciès et a annoncé, pour tenter d'endiguer cette pratique, le lancement d'une plateforme nationale de signalement des discriminations en janvier. Ce nouvel outil sera géré par l'Etat, le Défenseur des droits et des associations.
Les syndicats de policiers en colère. Ces annonces ont immédiatement provoqué la colère de plusieurs représentants des forces de l'ordre. « C'est inacceptable. […] On ne peut pas laisser croire, quand on est chef de l'Etat, qu'il y aurait quelque chose d'institutionnalisé autour d'un contrôle ciblé des personnes », a réagi Denis Jacob, secrétaire général du syndicat Alternative Police - CFDT. Alliance Police, a de son côté appelé tous les policiers à ne plus procéder à des contrôles d'identité en signe de protestation.
Des études précédemment menées. Peu d'études permettent d'évaluer l'ampleur des contrôles d'identité au faciès en France, comme les statistiques ethniques sont interdites. Toutefois, en 2017, une enquête publiée par le Défenseur des droits Jacques Toubon a montré que 80 % des personnes interrogées correspondant au profil de « jeune homme perçu comme noir ou arabe » avaient fait l'objet de contrôles d'identité durant les cinq années précédentes, contre 16 % pour le reste des participants.
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