| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. Dans l'actualité ce vendredi, les questions autour de la contamination d'Emmanuel Macron au Covid-19, Jean-Pierre Pernaut interrogé par nos lecteurs à l'heure de son dernier JT, une étude sur les lieux de contamination, et une grande interview de Christelle Ratignier-Carbonneil, nouvelle patronne de l'Agence nationale de sécurité du médicament. Bonne lecture. |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Macron positif au Covid-19. Le chef de l'Etat a été testé positif hier, après avoir ressenti des symptômes de la maladie. Cette annonce a entraîné des réactions en cascade et l'isolement de nombreux responsables politiques, jusque chez nos voisins européens. Le président s'est pour sa part rendu à La Lanterne à Versailles dans la soirée tandis que son épouse est restée à l'Elysée. Le point sur ce que l'on sait.
● La der' de Jean-Pierre Pernaut. La star du 13 heures de TF1 s'apprête à tirer sa révérence ce midi, non sans émotion. «J'appréhende énormément mon dernier 13 Heures», se confie-t-il en répondant à toutes les questions de nos lecteurs.
● Le tireur du Thalys. Jugé depuis la mi-novembre devant la Cour d'assises spéciale à Paris, Ayoub El Khazzani, le terroriste neutralisé par plusieurs passagers en août 2015 dans le train Amsterdam-Paris, a été condamné hier à la réclusion à perpétuité, avec une période de sûreté de 22 ans.
● Prise d'otage mortelle dans le Val-d'Oise. Un homme s'était retranché hier vers 18 heures dans son entreprise à Domont, retenant en otage son épouse. Le GIGN a retrouvé leurs corps en pénétrant dans les locaux après 21 heures tandis que deux employés avaient déjà été pris en charge, blessés par le forcené.
● Affaire Epstein, suite. Le Français Jean-Luc Brunel, agent de mannequins et proche du milliardaire américain mort en 2019, a été interpellé mercredi à Roissy dans le volet français de ce vaste scandale. Il a été placé en garde à vue dans le cadre de cette enquête pour viols et agressions sexuelles, notamment sur mineurs.
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A suivre | | Dernier jour d'école... pour certains ! « Comme l'a dit M. Castex, mon enfant ne viendra pas en classe. » Dans certains collèges et lycées, la formule doit faire sourire alors qu'une partie des familles semble bien s'être saisie de la possibilité offerte par le Premier ministre de garder les enfants à la maison, hier et aujourd'hui. Désormais, tous les regards se tournent vers les fêtes de Noël, dans une semaine, et certains ont fait le choix de s'auto-confiner. Un conseil, quoique vous décidiez : n'oubliez pas les gestes barrière, surtout en compagnie de personnes fragiles.
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| «La vaccination est à nos portes, nous allons l'accompagner» | Christelle Ratignier-Carbonneil La nouvelle patronne de l'Agence du médicament nous dévoile comment la surveillance va s'organiser. | |
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1 minute pour comprendre | | Une deuxième vague plus meurtrière que la première | L'info. 19 344 personnes sont décédées du Covid-19 à l'hôpital du 18 mars au 1er juillet. Depuis le 1er septembre, le bilan est déjà de 20 793 victimes ce 16 décembre. Pourtant, la courbe des décès quotidiens était montée beaucoup plus haut au printemps. Le pic a été atteint le 8 avril, avec 532 victimes par jour (en moyenne sur la semaine écoulée), contre 419 décès au maximum le 19 novembre.
Comment l'interpréter ? « Ce n'est pas parce que la vague monte moins haut qu'elle est moins grave. Quand elle a commencé, en septembre, elle montait très doucement, puis ça s'est progressivement accéléré », observe France Meslé, directrice de recherche à l'Institut national d'études démographiques (INED). Au début du printemps dernier, la trajectoire ascendante était beaucoup plus proche d'une verticale. Mais le confinement très strict entré en vigueur le 17 mars a pu faire redescendre la courbe aussi vite qu'elle avait grimpé. À l'inverse, « sans doute que les mesures plus souples mais prises plus rapidement cet automne ont limité la vitesse de croissance », pointe France Meslé.
Qu'en est-il au niveau des départements ? 72 départements recensent davantage de morts à l'hôpital depuis le 1er septembre qu'entre le 18 mars et le 1er juillet. Cela porte souvent sur de petits chiffres. Le Tarn-et-Garonne, par exemple, est passé de 6 à… 74 morts. Seuls 29 départements sont dans la situation inverse, mais ils comptent un nombre de victimes plus important. Paris ne déplore « que » 780 décès depuis le 1er septembre, contre 1 750 pendant la première vague, par exemple. « Une des caractéristiques essentielles de cette deuxième vague, c'est qu'elle s'est davantage diffusée géographiquement. Cela explique aussi pourquoi la courbe a une apparence moins pointue », indique France Meslé.
Plus d'une minute à nous consacrer ? Voici notre article.
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