| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. Au programme aujourd'hui : le gouvernement abat ses cartes concernant la deuxième étape du déconfinement, les suites du match interrompu du PSG pour des propos racistes, le projet de loi sur le séparatisme, la mort de la légende du foot italien Paolo Rossi cette nuit, notre test du dernier Call of Duty et les parcs de loisirs qui souffrent. Bonne lecture, et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Sébastien Coca, chef de service adjoint au pôle News
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On en parle | | | ● Noël : fin du suspense. Rouvrir les théâtres et cinémas, comme prévu initialement ? Instaurer un couvre-feu dès 19 heures ? Préserver le soir de Noël ? Jean Castex prend la parole aujourd'hui à 18 heures et doit préciser les modalités de la phase 2 du déconfinement qui doit s'ouvrir mardi prochain. Une chose est sûre : l'heure est au tour de vis face à des données épidémiologiques qui inquiètent.
● PSG. Paris l'a largement emporté hier soir face à l'équipe turque de Basaksehir, terminant en tête de son groupe devant Leipzig. Mais l'essentiel était ailleurs. La veille, les joueurs ont décidé de quitter la pelouse après des propos racistes de l'un des arbitres. Un moment historique que l'on vous raconte en coulisses et qui montre que les principaux acteurs de ce sport ont décidé d'agir.
● Après le crash. Gérald Darmanin se rend en Savoie aujourd'hui après le crash d'un hélicoptère de secours en montagne, qui s'est écrasé mardi soir pour des raisons encore inconnues. Le bilan est lourd, cinq morts, dont deux membres de la CRS Alpes de Savoie basée à Albertville, et un seul survivant, un pilote instructeur, grièvement blessé.
● Procès Sarkozy. Dans le procès dit des écoutes, qui doit se terminer aujourd'hui, la défense a pris la parole. En deux heures et demie de plaidoirie, Me Jacqueline Laffont, qui représente l'ancien président, a dénoncé hier «la faiblesse et le vide de l'accusation» dans le dossier «Bismuth». Le compte-rendu d'audience ici.
● L'épilogue du Brexit d'ici dimanche. Le sort des interminables négociations post-Brexit sera tranché dans les tous prochains jours, ont annoncé hier soir le Premier ministre britannique Boris Johnson et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen. A l'issue d'un dîner à Bruxelles, ils ont aussi à nouveau pris acte de leurs positions toujours «très éloignées».
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Comment suivre les annonces avec Le Parisien | | Jean Castex à 18 heures. Voici le rendez-vous de la journée à ne pas rater, et qui décidera peut-être de nos prochaines semaines. Le Premier ministre dévoile en fin de journée les décisions prises par l'exécutif pour faire face au regain épidémique alors que la 2e phase du déconfinement doit entrer en vigueur mardi. Pour ne rien louper, la prise de parole de Jean Castex sera à suivre sur notre site en direct. Plusieurs papiers de décryptage vous seront également proposés dès la fin de l'allocution. Sans oublier une foire aux questions, pour vous apporter toutes les réponses possibles. | |
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1 minute pour comprendre | | Pourquoi les indicateurs du Covid ont été chamboulés en 24 heures | L'info. Le taux d'incidence a fortement augmenté mardi par rapport à la veille, tandis que celui de positivité a presque diminué de moitié. Rien d'alarmant : ces écarts très importants d'un jour à l'autre sont dus à deux changements dans la méthode de calcul, avec pour but de mieux coller à la réalité de la situation épidémique.
Comment l'expliquer ? Il y a deux raisons. D'une part, les tests antigéniques sont enfin pris en compte dans le calcul des différents indicateurs. Au total, 10 215 nouveaux cas ont été recensés en moyenne chaque jour du 29 novembre au 5 décembre. La veille, avec uniquement les tests PCR, il était affiché un peu plus de 8 000 cas en moyenne par jour du 28 novembre au 4 décembre. Le taux d'incidence est désormais de 106,9, alors qu'il était affiché à 86,2 24 heures plut tôt. Soit une hausse de près d'un quart. Par ailleurs, la méthodologie a changé. Jusqu'à mardi soir, lorsqu'une personne était testée à plusieurs reprises avec le même résultat (le plus souvent, toujours négative), elle n'apparaissait dans le système qu'à la première date. Désormais, sera pris en compte dans le nombre de personnes testées sur une semaine tout individu qui a subi un prélèvement durant cette période. Le taux de positivité a automatiquement baissé : il n'est « que » de 6,4 % mardi soir, alors qu'il était affiché à 10,7 % la veille.
Pourquoi ces changements ? Cela permet de mieux refléter la réalité de la situation épidémiologique, d'autant que les tests antigéniques sont de plus en plus nombreux. Par ailleurs, « aujourd'hui, il est fréquent qu'une même personne effectue plusieurs tests, notamment lorsque les précédents étaient négatifs », souligne Santé publique France. D'où l'importance de tous les prendre en compte.
Plus d'une minute à nous consacrer ? Voici notre enquête.
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