| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. Nous revenons ce dimanche sur la condamnation de Jonathann Daval pour le meurtre de son épouse et le retentissement de cette affaire qui a fasciné les Français. Nous vous parlons également du business des laboratoires engagés dans la course au vaccin contre le Covid-19, de la mobilisation des catholiques de France et de nouvelles idées pour lutter contre les violences conjugales. Bonne lecture ! |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Jonathann Daval condamné. L'époux d'Alexia Daval, dont il avait avoué le meurtre, a été condamné hier par la cour d'assises de la Haute-Saône à 25 ans de réclusion criminelle, sans peine de sûreté. Il ne fera pas appel. L'épilogue d'une affaire ultramédiatisée qui a fasciné les Français.
● Bilan du Covid-19. En France, la tendance à la baisse se poursuit, selon Santé Publique France. Notamment concernant le taux d'occupation des services de réanimation, qui se réduit pour le cinquième jour consécutif. Les autorités enregistrent par ailleurs 276 décès supplémentaires liés au virus dans les hôpitaux, contre 386 vendredi et 354 il y a une semaine.
● Jackpot pour les laboratoires ? Le vaccin contre le Covid-19 n'est pas encore commercialisé mais les euros et dollars coulent, eux, déjà à flots. Dans la double course folle à laquelle se livrent d'un côté les laboratoires pour découvrir le remède gagnant et, de l'autre, les Etats solvables pour sécuriser leur futur approvisionnement, la surenchère aveugle est de mise. Nous vous racontons les coulisses des transactions.
● Des idées citoyennes pour lutter contre les violences conjugales. Plus de 400 000 personnes ont participé à l'élaboration de nouveaux outils pour lutter contre les violences faites aux femmes, par le biais de la plate-forme Make.org. Mémo de vie, formation des policiers, accès à des nuitées d'hôtel... Nous dévoilons ces réponses qui seront officiellement présentées demain au gouvernement. | |
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A suivre aujourd'hui | Privés de messe, les catholiques se rassemblent à nouveau | Pour le troisième week-end consécutif, des appels à manifester ont été lancés par des catholiques ce dimanche dans plusieurs grandes villes françaises. Devant des cathédrales et églises, ils s'apprêtent de nouveau à réclamer le retour de la messe, interdite, comme toutes les cérémonies religieuses, depuis le reconfinement. Tous espèrent une reprise des célébrations publiques le week-end prochain, ce que le président Macron pourrait annoncer mardi soir lors de son allocution télévisée. L'enjeu, pour les fidèles, est d'abord spirituel. Mais pour les paroisses et les diocèses, il est aussi financier. Car l'absence de quêtes a plombé les finances, comme nous vous l'expliquons dans cet article. | |
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1 minute pour comprendre | | Pourquoi le dépistage massif du Covid-19 en France n'est pas une option | L'info. Le chancelier autrichien a annoncé vendredi le lancement d'une campagne massive de dépistage du coronavirus afin, notamment, de « permettre aux gens de fêter Noël ». Ce type d'opération, déjà tentée en Slovaquie, a pour objectif de repérer les personnes infectées mais asymptomatiques qui échappent bien souvent aux radars des autorités.
Pourquoi pas en France ? Le dispositif comporte des limites et des contraintes logistiques très importantes pour un pays comme le nôtre - l'Autriche ne compte par exemple que 9 millions d'habitants. Il nécessite de recourir aux tests antigéniques, moins sûrs que les PCR, et d'attendre que le niveau de circulation du virus baisse drastiquement, pour que les centres de dépistage puissent s'y consacrer à plein temps. Seule une adhésion massive lui permettrait de fonctionner. Rien n'indique qu'elle serait facile à obtenir dans un contexte de relâchement probable, où chacun aurait tendance à se sentir de moins en moins concerné par une épidémie en veille.
Alors, on oublie ? Pas forcément ! Le dépistage massif peut être réalisable et même très utile, à l'échelle locale et de manière ponctuelle. Surtout s'il s'agit d'un environnement où l'on sait qu'il existe de nombreux infectés asymptomatiques, comme un lycée. Selon le président du conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, des expériences devraient être menées prochainement dans « une ou deux grandes villes françaises », afin de mieux cerner le potentiel de cette manière de procéder.
Plus d'une minute à nous consacrer ? Voici notre décryptage.
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| «La Sylvie (Tellier), elle m'a volé ma vie» | Geneviève de Fontenay L'ancienne présidente du Comité Miss France refuse de participer au centenaire du concours sur TF 1 | |
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