| | Ça me rapporte | Argent, conso, travail… L'essentiel de l'actualité de votre pouvoir d'achat
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Aujourd'hui Tout ce qu'il faut savoir pour vos courses ● Des trains supprimés ● Des tarifs postaux diminués ● Et bien plus |
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3 novembre 2020 | Commerce et confinement ne font pas bon ménage | | Quelle drôle d'ambiance ! Des supermarchés obligés de bâcher des livres ou de condamner l'accès à leurs rayons jouets. Des restaurants où il fait si bon d'habitude se mettre à table transformés en points de retrait… de plats à emporter. Des commerçants en grève de la faim pour protester contre leur fermeture requise par le gouvernement et d'autres qui tentent de sauver les ventes de novembre (et peut-être décembre) en créant, dans l'urgence, un site Internet. Le Premier ministre, Jean Castex, pensait bien faire en annonçant dimanche soir, au nom de l'égalité de traitement avec le petit commerce, que les grandes surfaces devraient fermer ces fameux rayons de produits «non essentiels». Au final, c'est un sacré bazar qui règne dans le monde du commerce... On fait le point sur les produits autorisés ou pas en vente dans les supermarchés. D'ailleurs, les grandes surfaces maintiennent les promotions prévues en novembre, contrairement à l'acte I du confinement qui avait vu l'arrêt des promos. N'hésitez pas cependant à soutenir les commerçants de proximité en passant commande et en allant chercher vos achats en mode «click&collect». On vous explique comment cela fonctionne un peu partout en France, de Colmar à Limoges en passant par Nancy. Restez proches les uns des autres… mais en sécurité et à bonne distance.
À vendredi ! | | | | Par Séverine Cazes Cheffe adjointe du service économie au Parisien |
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| Les commerces de proximité misent sur Internet | Un peu partout en France, des fleuristes, des boutiques de vêtements ou de cosmétiques, obligés de fermer pendant le confinement, se regroupent au sein des marketplaces locales pour proposer à leurs clients de commander en ligne et de se faire livrer à domicile ou de récupérer leurs produits sur place. Cela suffira-t-il à sauver la période propice aux achats avant Noël ? | |
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| Des tarifs postaux diminués pour les livres commandés en librairie | Les librairies indépendantes ne sont pas à la fête, alors pour encourager les Français à commander des livres chez leur libraire de quartier plutôt qu'auprès des géants de e-commerce, Roselyne Bachelot, la ministre de la Culture, promet des tarifs postaux rikiki pour les grosses envies de lecture. | |
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