| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la Une ce dimanche, notre grand entretien avec le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin, qui estime que «cela fait des années que l'on crache à la figure des policiers». A lire également, la question sur le port du masque à la maison qui divise les experts, et plusieurs manifestations annoncées aujourd'hui de catholiques réclamant le retour des messes. Enfin, nous savourons la victoire des Bleus hier face au Portugal, synonyme de qualification pour le dernier carré de la Ligue des nations. Bonne lecture ! |
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Cette édition a été préparée par Rosalie Lucas, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Darmanin défend les policiers. Le ministre de l'Intérieur a accordé à notre journal un long entretien exclusif. Il affiche ses ambitions en matière de lutte contre la radicalisation et se pose en défenseur des forces de l'ordre. Il annonce également vouloir revoir «la répartition entre police et gendarmerie sur le plan national».
● Faut-il porter le masque à la maison? L'exécutif le prône désormais. Certains experts approuvent, d'autres doutent que ce soit une si bonne idée. D'autant que le milieu familial élargi ne représente qu'une petite part des clusters recensés officiellement.
● Le baroud d'honneur des pro-Trump. Une marche de partisans du président sortant a été organisée hier dans la capitale américaine pour protester contre l'annonce de sa défaite à la présidentielle… que le milliardaire n'a toujours pas reconnue.
● Les Bleus ne tremblent pas. Après l'échec face à la Finlande, les champions du monde ont eu la réaction attendue en se qualifiant hier pour le dernier carré de la Ligue des nations au terme d'un succès très probant face au Portugal.
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A suivre | Les cathos dans la rue | Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin avait prévenu avant le week-end qu'il n'hésiterait pas à «envoyer les policiers et gendarmes verbaliser» les catholiques qui manifesteraient pour la réouverture des messes. Plusieurs rassemblements sont pourtant annoncés ce dimanche à Nantes, Lyon et Bordeaux. Celui prévu dans l'après-midi à Paris a été interdit par la préfecture. Si les lieux de culte sont ouverts pendant le confinement, les offices n'y sont pas autorisés. | |
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1 minute pour comprendre | | On nous annonçait «9000 patients» en réanimation «mi-novembre» : où en est-on? | Que nous avait-on annoncé? Le 28 octobre, Emmanuel Macron annonce dans une allocution sa décision de reconfiner le pays entier dès le surlendemain. « À ce stade, nous savons que quoi que nous fassions, près de 9 000 patients seront en réanimation à la mi-novembre, soit la quasi-totalité des capacités françaises », indique le chef de l'Etat. Une semaine plus tard, jeudi 5 novembre, Olivier Véran s'exprime lors d'une conférence de presse. « Si nous ne respectons pas suffisamment le confinement (entré en vigueur six jours plus tôt, NDLR), alors nous connaîtrons un risque fort de saturation au niveau national dès la mi-novembre avec plus de 7 000 patients atteints du Covid en réanimation », indique le ministre de la Santé
Ou en est-on aujourd'hui? 4 855 patients atteints du Covid-19 étaient hospitalisés en réanimation hier. Ou plutôt en « soins critiques », puisque cela regroupe aussi, en réalité, les malades graves en soins intensifs ou en surveillance continue. Ce nombre, en baisse par rapport à la veille, représente quasiment 100 % des capacités initiales en lits de réanimation.
Pourquoi ce décalage? Oui, les différentes mesures prises ces dernières semaines, en particulier le confinement mais aussi les couvre-feux locaux, ont permis de réduire la hauteur du pic attendu mi-novembre, s'accordent à dire médecins et autorités sanitaires. Mais avec une telle différence, on est en droit de penser que les chiffres du gouvernement étaient trop alarmistes. En fait, il ne s'agissait pas de prévisions, mais de projections de ce à quoi on peut s'attendre dans le cas où rien ne change. Si ces projections peuvent aider à changer les comportements, elles laissent aussi sceptiques une partie de la communauté médicale. «Faire des prédictions à une semaine, on y arrive. Mais au-delà, c'est très compliqué », juge ainsi Stéphane Gaudry, professeur de médecine intensive en réanimation à l'hôpital Avicenne (Bobigny). Un avis partagé par l'épidémiologiste réputé Antoine Flahault, qui nous confiait récemment qu'on « ne peut pas prévoir la situation un mois et demi à l'avance ». « C'est totalement farfelu », lâchait-il.
Si vous avez plus d'une minute, découvrez notre décryptage complet ici.
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