| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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👋 Bonjour à tous ! Aujourd'hui, nous vous parlons de Donald Trump qui a été testé positif au Covid-19, de la météo houleuse dans plusieurs départements de France, et de nouvelles révélations à propos de Mickaël Harpon, auteur de la tuerie à la préfecture de police, il y a un an. Bonne lecture. |
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Cette édition a été préparée par Gaëtane Bossaert, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | Donald Trump positif au Covid-19. Le président américain a annoncé cette nuit qu'il avait contracté le virus, tout comme son épouse Melania. «Nous allons entamer notre quarantaine et le processus de rétablissement immédiatement» a-t-il ajouté. La président a fait un test après que Hope Hicks, sa proche conseillère, a été testée positive. Elle l'accompagnait notamment lorsqu'il s'est rendu mardi à Cleveland, dans l'Ohio, pour participer au débat face à Joe Biden.
Tempête Alex. Une rafale enregistrée à 186 km/h à Belle-Ile-en mer, 80.000 personnes privées d'électricité dans le Morbihan... la tempête a soufflé cette nuit dans l'ouest, encore sous les vents violents. Dans le sud-est, Météo France a placé ce matin les Alpes-Maritimes en vigilance rouge pluie-inondation, et onze autres départements sont en alerte orange pluie-inondation ou orages.
● Attentat de la préfecture à Paris. Un an après l'attentat qui a fait quatre morts, nos révélations à propos de l'enquête, qui montre que le comportement de l'informaticien Mickaël Harpon recelait des signes de radicalisation, négligés à l'époque. Une surveillance clandestine avait même été menée par deux policiers inquiets.
● Paris échappe au rouge. La capitale et sa petite couronne peuvent souffler : pour l'instant, elles échappent encore au statut de zone d'alerte maximale. Mais c'est peut-être juste une question de temps, a expliqué Olivier Véran, le ministre de la Santé, hier soir. Qu'est-ce qui attend la région parisienne ces prochains jours ? Le point par ici. | |
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À suivre | | | Emmanuel Macron et le séparatisme. C'est ce matin que le président de la République doit prononcer un discours suivi d'une conférence de presse pour dévoiler les contours du projet de loi sur « les séparatismes », qui sera présenté début décembre en Conseil des ministres. De quoi va-t-il parler ? Non pas de toutes les dérives sectaires et religieuses, mais principalement de l'extrémisme musulman. Comme nous vous l'expliquons, le ton au sommet de l'Etat a en effet changé ces derniers jours, sur fond d'attaque au hachoir devant les ex-bureaux de « Charlie Hebdo » et de recrudescence des appels à la haine. « Le principal adversaire, c'est l'islamisme », analyse ainsi la présidence.
Retrouvez notre article et l'interview de Jean-Louis Borloo | |
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| «C'était si long...» | Robert, un Américain qui a pu retrouver sa compagne française après 8 mois de séparation forcée à cause du Covid-19 | |
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L'antisèche | | Vers un allongement du délai légal de l'IVG | Les faits. Les députés ont donné un premier feu vert en commission à une proposition de loi visant à allonger de 12 à 14 semaines de grossesse le délai légal pour recourir à l'avortement. Porté par la députée du groupe EDS (Écologie Démocratie Solidarité) et ex-LREM Albane Gaillot, le texte est attendu dans l'hémicycle le 8 octobre. Il a obtenu le soutien de la majorité et fait suite à un rapport parlementaire de la délégation aux droits des femmes de l'Assemblée qui préconisait cette mesure.
Le contexte. Le taux de recours à l'avortement a légèrement augmenté en 2019, avec plus de 232 000 IVG, atteignant son plus haut niveau constaté depuis trente ans. Mais «45 ans après, l'accès à l'IVG, qui devrait être un droit effectif aujourd'hui, ne l'est pas en 2020. (...) Ce parcours de l'IVG est considéré par les femmes comme un parcours du combattant», a souligné la députée LREM Cécile Muschotti. Outre l'allongement du délai, les députés ont voté pour élargir les compétences des sages-femmes, en leur permettant de réaliser des IVG chirurgicales jusqu'à la 10e semaine de grossesse.
Que dit l'opposition ? A droite, Damien Abad, président du groupe LR à l'Assemblée, nous a confié s'interroger «quand on essaye de détricoter la loi Veil» . Au RN, Sébastien Chenu a plaidé pour s'en tenir à la «borne actuelle» de 12 semaines : le «cadre doit demeurer solide et pas élastique. Allonger le délai à 14 semaines est un débat sans fin», a-t-il estimé.
Notre article complet ici. | |
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